Top 3 : nos rôles préférés de Daniel Day-Lewis

On a eu du mal à choisir, mais on a décidé de sélectionner trois rôles de Daniel Day-Lewis qui nous ont fait sauter au plafond.


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Dans un communiqué, l’acteur l’affirme : il raccroche pour de bon. Étrange nouvelle qui survient alors qu’on attend impatiemment de voir l’acteur-aux-3-Oscars dans le prochain film de Paul Thomas Anderson, The Phanthom Thread dont on sait seulement que l’histoire se déroulera dans le milieu de la mode des années 1950. On a eu du mal à choisir, mais on a décidé de sélectionner trois rôles de Daniel Day-Lewis qui nous ont fait sauter au plafond. Les voici :

My Beautiful Laundrette (1985) – Stephen Frears 

L’un des premiers rôles de l’acteur au cinoche. Il y incarne Johnny, un jeune anglais issu des quartiers populaires qui lâche sa bande de skinheads pour les beaux yeux d’Omar, pote d’enfance devenu amant, par ailleurs enfant d’une famille d’immigrés pakistanais. Ambitieux, ce dernier ouvre une laverie automatique et engage Johnny pour la maintenance du lieu. On vous conseille de regarder cette scène culte, dans laquelle le perso de Daniel Day-Lewis joue malicieusement avec les conventions.

There Will Be Blood (2007) – Paul Thomas Anderson 

Cette fois-ci, c’est lui l’ambitieux, mais un ambitieux qui va vite déchanter. Daniel Day-Lewis endosse le rôle de Daniel Plainview, venu dans un village de Californie profiter du flot de pétrole qui y dort. Il y croise la route d’Eli Sunday, un prêtre dont l’Eglise est le centre de gravité des habitants de la ville. Dans cette scène, ce dernier l’empresse de confesser ses péchés. Géniale performance de l’acteur.

Gangs of New-York (2003) – Martin Scorsese 

Et on aime tout autant Day-Lewis en chef  tyrannique et sanguinaire. Dans ce film qui nous ramène aux guerres de gang dans les États-Unis du XIXe siècle, Daniel Day-Lewis joue Bill le Boucher, à la tête des Native Americans. Un personnage qui ne tremble devant rien.

On ose espérer que s’il quitte le métier d’acteur, c’est pour mieux passer derrière la caméra. Sinon, on pleure très fort.