Dans Lost in Translation, son deuxième long métrage, Sofia Coppola filme beaucoup de fenêtres : les immenses baies vitrées qui habillent les chambres d’un hôtel de luxe comme perché dans les airs ou encore les vitres de taxis sur lesquelles se reflètent les lumières de la ville de Tokyo. Mais chez la cinéaste, les surfaces vitrées, plutôt que d’être de simples postes d’observation, sont surtout des surfaces réfléchissantes qui arenvoient les deux héros du film (Scarlett Johansson et Bill Murray) à leur propre solitude. La preuve en images.
Le motif de la fenêtre dans Lost In Translation de Sofia Coppola
Dans Lost in Translation, son deuxième long métrage, Sofia Coppola filme beaucoup de fenêtres : les immenses baies vitrées qui habillent les chambres d’un hôtel de luxe comme perché dans les airs ou encore les vitres de taxis sur lesquelles se reflètent les lumières de la ville de Tokyo. Mais chez la cinéaste, les surfaces vitrées,