Les résonances visuelles dans Moonlight

Après couac, c’est bien le sublime Moonlight, de Barry Jenkins, qui a remporté l’Oscar du meilleur film 2017. Dans la vidéo ci-dessus, Jacob T. Swinney fait resurgir, plan par plan, les échos entre les scènes de ce drame construit en trois parties (enfance, adolescence, âge adulte) en les intégrant dans deux écrans symétriques. De son


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Après couac, c’est bien le sublime Moonlight, de Barry Jenkins, qui a remporté l’Oscar du meilleur film 2017. Dans la vidéo ci-dessus, Jacob T. Swinney fait resurgir, plan par plan, les échos entre les scènes de ce drame construit en trois parties (enfance, adolescence, âge adulte) en les intégrant dans deux écrans symétriques. De son enfance à son adolescence, Chiron et les personnes de son entourage reproduisent ainsi les mêmes gestes dans des lieux sensiblement identiques.