En vidéo : Une analyse percutante de l’œuvre du regretté Nicolas Roeg

On rend hommage au pas farouche Nicolas Roeg, disparu il y a une semaine, avec cette vidéo méticuleuse sur sa très belle filmographie. En revenant sur son travail comme caméra et chef op dans les sixties- notamment pour Fahrenheit 451 de François Truffaut (1966)- cette analyse se centre sur les constantes visuelles de l’œuvre du réalisateur britannique : des couleurs ultra


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On rend hommage au pas farouche Nicolas Roeg, disparu il y a une semaine, avec cette vidéo méticuleuse sur sa très belle filmographie. En revenant sur son travail comme caméra et chef op dans les sixties- notamment pour Fahrenheit 451 de François Truffaut (1966)- cette analyse se centre sur les constantes visuelles de l’œuvre du réalisateur britannique : des couleurs ultra vives, l’utilisation constante du zoom, un montage fou, répétitif et non linéaire, marqué par les incohérences de la psyché humaine. Fasciné par les marges (et donc par le mode de vie des rock stars comme Bowie, Jagger ou Art Garfunkel, qu’il a fait tourner), il a aussi été une influence majeure pour Tony Scott, qui s’était inspiré du montage alterné de Performance (1960) pour son premier long Les Prédateurs (1983). Merci Joshua Whitelaw pour le montage !