LE PRIX D’INTERPRÉTATION POUR ALYIONA MIKHAILOVA
La compétition démarre fort à #Cannes2022 avec le film très impressionnant de Kirill Serebrennikov « La femme de Tchaikovski ». Une descente en enfer fantomatique sublimée par une lumière spectrale et une suite de séquences dingues où la reconstitution bascule dans l’onirisme pic.twitter.com/JspgqORXxU
— Philippe Rouyer (@philippe_rouyer) May 18, 2022
Il est pas venu à #Cannes2022 pour jouer au jokari Kirill Sebrennikov.
LA FEMME DE TCHAÏKOVSKI est un carrousel cauchemardesque déguisé en drame intimiste.
Bourré d'idées plastiques folles, jamais surplombantes.
Gros cassage de bouche en règle pour commencer la compétition. pic.twitter.com/Ru9IRpItma
— Simon Riaux (@SimRiaux) May 18, 2022
Quelle merveille ce La femme de Tchaikovsky. Serebrennikov qui crée la surprise dans sa mise en scène tout en restant fidèle à lui même. Un diamant noir. #Cannes2022
— Florent Boutet (@ToughCookie4) May 18, 2022
La femme de Tchaïkovski – malgré une timide standing ovation, le nouveau Serebrennikov est magistral, et sa mise en scène ciselée comme jamais. Alyona Mickhailova habite chaque plan et met déjà la barre bien haute pour ses concurrentes. Ça commence très fort. #Cannes2022
— Matthieu @ 🌴 Cannes 🌴 (@MattTouvet) May 18, 2022
Pour sa 1ère venue physique au festival, Serebrennikov a décidé de tout casser avec #LaFemmeDeTchaïkovski. Élan dramatique et désespéré qui fourmille d'idées visuelles, romanesque et fou. La BO dans les veines, Alyona Mikhailova dans nos cœurs. #Cannes2022 pic.twitter.com/L3WEH5rHYA
— Margaux Maekelberg 🦦 (@marg_oh) May 18, 2022
Ah ben oui il est là. #LaFemmedeTchaikovski est un grand film cannois, heureusement programmé en début de festival. C’est assez austère, livresque, ça se mérite mais c’est rempli d’idées de cinéma dont Serebrennikov a le secret. Bien plus intéressant que #LafièvredesPetrov, perso pic.twitter.com/sFGyWujl78
— Jean-Baptiste Morel (@JB__Morel) May 18, 2022
Serebrennikov a présenté La Femme de Tchaïkovsky en compétition officielle au #FestivaldeCannes2022 : il pervertit les codes du mélodrame pour une oeuvre puissante qui saborde les codes de l'académisme avec délectation. Passionnant ! pic.twitter.com/P4zp7saUxU
— Vincent Thabourey (@VincentThabour1) May 18, 2022
Plongée dans une obsession amoureuse aux portes de la folie, La Femme de Tchaikovsky déjoue toutes les attentes du film historique en costume ! Faussement classique, la mise en scène de Serebrennikov fait des merveilles quand elle s’aventure dans le dédale mental de son héroïne. pic.twitter.com/YUuJl8Itwk
— Antoine Rousseau (@ant_rousseau) May 18, 2022
#TchaikovskysWife de Kirill Serebrennikov al @Festival_Cannes
Esplendorós melodrama d'època amb dona boja d'amor i cruelment rebutjada. Visualment espaterrant amb moments meravellosos. Magnificència estètica desbordant. Dramàticament convuls i torbador.
⭐⭐⭐⭐⭐#Cannes2022 pic.twitter.com/9caXtrWCKb— joanmillaret (@joanmillaret) May 18, 2022
« Splendide mélodrame d’époque avec une femme pleine d’amour et cruellement rejetée. Visuellement époustouflant avec des moments merveilleux. Une magnifique esthétique débordante. Dramatiquement convulsif et dérangeant. »
PRESQUE PARFAIT
TCHAÏKOVSKY'S WIFE is absolutely stunning and features a sensational score and a heartbreaking leading performance by Alyona Mikhailova. The story is a little long and repetitive but I found enough to remain engaged throughout.#Cannes2022 #TchaikovskysWife pic.twitter.com/DaG79gjh1s
— Amy Smith ➡️ Cannes 🇫🇷 (@filmswithamy) May 18, 2022
« TCHAÏKOVSKY’S WIFE est absolument magnifique, avec une partition sensationnelle et une interprétation déchirante d’Alyona Mikhailova. L’histoire est un peu longue et répétitive, mais j’ai trouvé ce qu’il me fallait pour rester engagée tout au long du film. »
Non sans quelques défauts (appesantissement parfois sur le glauque, emprunts au théâtre pas toujours convaincants), « La femme de Tchaikovsky » de Kyrill Serebrennikov est un film plutôt magnifique, avec une Aliona Mikhaïlova incandescente pic.twitter.com/9XYiOw9j5Q
— Matteu Maestracci (@MMaestracci) May 18, 2022
INDIGESTE ET PESANT
Le vrai souci avec « La femme de Tchaïkovski », c’est de nous peindre un pays en vert et gris, certes dans un style moins agité que Petrov, mais tout aussi nauséeux par moments. pic.twitter.com/pQEA25wUqE
— Raphaël Clairefond (@RaphaelClair) May 19, 2022
@Festival_Cannes "La Femme de Tchaïkovski" (Kirill Serebrennikov, compétition). Entre classicisme et folie, le film peine à trouver ses marques et à livrer le portrait dévastateur qu'on espérait. Des longueurs et des séquences peu utiles. pic.twitter.com/Hpynw9udPo
— Pascal Gavillet (@PascalGavillet) May 18, 2022
Le Festival de Cannes se tiendra cette année du 17 au 28 mai 2022.
Image (c) Bac Films