« Mektoub, My Love Intermezzo »: ce qu’en pensent les critiques sur Twitter

Pour toi public, j'ai compté tous les plans qui montrent des culs dans #MektoubMyLoveIntermezzo : il y en a 178. Si on les enlève, je pense que le film dure 20 minutes. pic.twitter.com/QgIqzklDIN

— Anaïs Bordages (@AnaisBordages) May 24, 2019

#Cannes2019 – #Mektoubmyloveintermezzo: jeux, Sète et machos https://t.co/vXUOFd8IJg via @Le_Figaro pic.twitter.com/z2uUTIsAh7

— Olivier Delcroix (@Delcroixx) May 24, 2019

Oui la scène de sexe est dominée par la femme comme c’est rarement fait au cinéma.
Oui Kechiche est un Dieu pour filmer la jeunesse, le désir comme il l’a montré dans le premier.
Mais je rejette totalement ce film dont je ne vois que la brutalité du regard misogyne et abject.

— Gwen (@gwennaelle_m) May 24, 2019

Vous vous souvenez quand on disait de Canto Uno : "Oui les scènes de cul gratuites OK, mais la naissance de l'agneau quoi". Bah là Kechiche il a retiré l'agneau. Résultat : #MektoubMyLoveIntermezzo est une version de 3h30 de Call on Me d'Eric Prydz. Quel enfer. #Cannes2019

— Julien Lada (@JulienLada) May 23, 2019

Je donne 10 balles à qui demandera en conférence de presse à Kechiche : « Monsieur Kechiche, merci de nous avoir présenté vos rushes. Pensez-vous qu’il y a de quoi faire un film avec ? »#Cannes2019 #FestivalDeCannes2019 #FestivalDeCannes

— Thibault vdW (@thibaultvdw) May 23, 2019

Kechiche radicalise l’étirement des séquences, signature de son cinéma, en optant pour une scène de boîte de nuit de 3h. Expérience éprouvante, intéressante dans sa forme mais terriblement problématique dans l’objétisation de la femme. Déçu. #MektoubMyLoveIntermezzo #Cannes2019 pic.twitter.com/SIpEKiTtQa

— Mehdi Omaïs (@MehdiOmais) May 24, 2019

En enfermant ses personnages durant 3 heures dans une boîte de nuit, Abdellatif Kechiche s’enferme dans un geste de cinéma radical mais statique qui empêche #MektoubMyLoveIntermezzo d’avancer, de surprendre et d’émouvoir. #Cannes2019 pic.twitter.com/hpvrMh9HT4

— Damien Leblanc (@damien_leblanc) May 24, 2019

Pas de générique, pas de réel narration. Une intro sur un culs, des plans sur des culs. Et encore. Une discussion sur les culs. D’autres culs. Et on fini sur un cul. Plage. Boîte. Cuni. Boîte. Fin. J’adore le cinéma de Kechiche mais là j’ai pas suivi… #MektoubMyLoveIntermezzo

— Thibaut Buccellato (@Thibuch) May 24, 2019

Je sors éreintée de ce #MektoubMyLoveIntermezzo avec l’impression d’avoir fait la fête toute la nuit. C’est d’une intensité sexuelle incroyable , et d’un culot monstrueux. #Cannes2019

— Suzy Bishop (@DLACDI) May 23, 2019

La radicalité de l’expérience Mektoub intermezzo surprend. Inédit, sensoriel, extravagant. La scène de sexe la plus incroyable jamais vu. Et on a pas fini de se battre sur le film. #Cannes2019 #MektoubmyLoveIntermezzo

— Florent Boutet (@ToughCookie4) May 24, 2019

"L’épuisement verbal, les coïts épileptogènes, la danse derviche, l’extrémisme émotionnel, la violence des coups, la démesure des appétits et le chaos des humeurs propulsent l’apparente banalité des situations dans un accélérateur de particules" https://t.co/QWRWCRRxim via @Libe

— J-C Feraud (@JCFeraud) May 24, 2019

Fini la tchatche kechichienne, ne reste plus que l’expression des corps moites et électriques dans la chaleur d’une boîte de nuit, 3h durant. Harassant, hypnotisant, exaspérant, fascinant, l’expérience de cinéma la plus folle vécue à Cannes #MektoubMyloveIntermezzo

— Baptiste Etchegaray (@batetche) May 24, 2019

Expérience incroyable que le #MektoubMyLoveIntermezzo de Kechiche, qui va plus loin que jamais dans l'épuisement, la transe et l'extase. Du cinéma radical, d'une puissance éblouissante, pour qui est fasciné.e par les lumières, les sons et les corps #Cannes2019

— Timé Zoppé (@TimeZoppe) May 24, 2019

Geste fou que ce #MektoubMyLoveIntermezzo : retrouver en temps réel et grâce au cinéma toutes les sensations d’une nuit en club : l’euphorie, l’ivresse, la volupté, l’épuisement. J’ai adoré.

— Quentin Grosset (@QuentinGrosset) May 24, 2019