Élise, 7 ans, aime Comme des bêtes

« On pourrait appeler ce film “Animaux domestiques à tous les étages”, parce que c’est l’histoire de bêtes qui vivent dans les grandes tours de New York où il y a des animaux partout. Les héros sont deux chiens qui appartiennent à la même maîtresse et qui ne s’aiment pas. Mais ils s’aident chacun leur tour


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« On pourrait appeler ce film “Animaux domestiques à tous les étages”, parce que c’est l’histoire de bêtes qui vivent dans les grandes tours de New York où il y a des animaux partout. Les héros sont deux chiens qui appartiennent à la même maîtresse et qui ne s’aiment pas. Mais ils s’aident chacun leur tour dans leurs aventures et, à la fin, ils deviennent amis. Donc, en fait, c’est un peu une histoire d’amitié. Dans la réalité, on ne comprend pas les animaux, alors que dans le film on comprend tout ce qu’ils disent. Donc, à mon avis, les gens qui ont fait le film ont demandé de l’aide à des dompteurs : j’ai vu dans un documentaire que les dompteurs du cirque regardent bien les animaux dans les yeux et que du coup ils arrivent à comprendre ce qu’ils pensent. Dans le film, c’est pareil, la maîtresse ne comprend pas ses chiens, mais nous on les comprend. En tout cas, c’était très drôle : à un moment, j’ai tellement ri que j’ai demandé de l’aide, sinon j’allais me mettre à pleurer de rire ! »

LE PETIT AVIS DU GRAND

Depuis le triomphe de Moi, moche et méchant, le savoir-faire de la société franco-américaine Illumination Mac Guff en matière de dessin animé n’est plus à démontrer. Une spécificité que confirme sa dernière production, Comme des bêtes. L’intrigue, plutôt convenue, est surtout un prétexte à enchaîner gags délirants et personnages folkloriques dont les plus hilarants rappellent les grandes heures de Chuck Jones, le père de Bugs Bunny. Il y a pire référence.

Comme des bêtes
de Yarrow Cheney et Chris Cheney
Sortie le 27 juillet
Dès 5 ans