Si on le regarde de près, difficile de comprendre le parcours de Matthew McConaughey, propulsé sur le devant de la scène en 1993 dans le barré Dazed and Confused de Richard Linklater, avant d’être engagé par Steven Spielberg pour le film Amistad (1997). Vite étiqueté beau-gosse-plus profond-qu’il-n’y-paraît dans des comédies romantiques des années 2000, telles que Comment se faire larguer en 10 leçons (2003) ou Un mariage presque parfait (2001), il a ensuite subi la dure loi hollywoodienne, consistant à caser les comédiens dans un certain genre. Sauf que l’acteur a redoré son blason du côté des critiques en opérant un revirement inattendu. En 2012, il joue dans Magic Mike de Steven Soderbergh. Un an plus tard, sa prestation dans l’émouvant The Dallas Buyers Club de Jean-Marc Vallée est récompensée par un Oscar (meilleur acteur), quelques années avant la diffusion de la géniale série True Detective. Qu’il joue maintenant dans le film fantastique La Tour Sombre de Nikolaj Arcel, sorti ce 9 août en salles, nous confirme qu’il n’est jamais là où on l’attend. Merci Fandor !
Vidéo : Le parcours ciné complètement atypique de Matthew McConaughey
Si on le regarde de près, difficile de comprendre le parcours de Matthew McConaughey, propulsé sur le devant de la scène en 1993 dans le barré Dazed and Confused de Richard Linklater, avant d’être engagé par Steven Spielberg pour le film Amistad (1997). Vite étiqueté beau-gosse-plus profond-qu’il-n’y-paraît dans des comédies romantiques des années 2000, telles que Comment