« Avant qu’il n’y ait la Nouvelle Vague française, il y avait Agnès Varda. » C’est sur ces mots que s’ouvre cette vidéo en forme de mini-traversée chronologique dans la filmographie de la réalisatrice. Entre La Pointe courte (1955), plongée à la fois réaliste, fragmentée et poétique dans un quartier de pêcheurs qui jeta les grandes bases de la modernité au cinéma, Le Bonheur (1965), film plus clairement expérimental et philosophique ou Les Plages d’Agnès (2008), documentaire autobiographique bercé par le reflux des vagues, (presque) tout Varda est condensé en quelques minutes. Fan inconditionnel ou curieux novice, tout le monde s’y retrouvera, tant la vidéo examine aussi bien les grands traits du cinéma de Varda (le documentaire savamment mis en forme pour conter des histoires intimes, tirer des portraits de femmes fortes) que ses courts-métrages engagés les plus méconnus (Salut les Cubains, réalisé en 1963). Une tentative de montrer en quelques images comment la vague Varda a déferlé sur le cinéma pour nous emporter.
Vidéo: La filmographie d’Agnès Varda en 4 minutes chrono
« Avant qu’il n’y ait la Nouvelle Vague française, il y avait Agnès Varda. » C’est sur ces mots que s’ouvre cette vidéo en forme de mini-traversée chronologique dans la filmographie de la réalisatrice. Entre La Pointe courte (1955), plongée à la fois réaliste, fragmentée et poétique dans un quartier de pêcheurs qui jeta les grandes bases de la modernité