Il y a ceux qui y ont vu un chef d’oeuvre
#Cannes2018 – avec #Thehousethatjackbuilt, #Larsvontrier, signe son retour sur la Croisette. Le choeur des vierges effarouchées sur les réseaux sociaux, n’empêchera pas le réal de #Melancholia de poursuivre son oeuvre, ultra-dérangeante, mais indéniablement cinématographique! pic.twitter.com/LTedFvhtzp
— Olivier Delcroix (@Delcroixx) 15 mai 2018
#TheHouseThatJackBuilt : Après le deuil, la mélancolie et la nymphomanie, l’analyse d’un psychopathe bourré de TOC en 5 segments et un épilogue sidérant. Incroyablement ambitieux, dérangeant et fascinant. Chef d’œuvre !
— Robin (@Piwi_47) 14 mai 2018
#TheHouseThatJackBuilt n’a rien d’insoutenable. #LarsvonTrier a construit cette nouvelle méditation sur la vie, la mort, l’art et l’enfer, sous forme d’un dialogue chapitré, comme #Nymphomaniac. Avec à la clé une réflexion sur la représentation de l’immontrable. Puissant ! pic.twitter.com/p04ziRSEUi
— Philippe Rouyer (@philippe_rouyer) 15 mai 2018
#TheHouseThatJackBuilt est exactement ce qu’on pouvait attendre de Lars Von Trier explorant la figure du tueur en série : c’est malsain, sadique, provocateur, drôle et cauchemardesque – génial ?
#Cannes2018— Dom Maury Lasmartres (@Silence_Action) 14 mai 2018
#TheHouseThatJackBuilt est littéralement un film de psychopathe dans lequel Lars von Trier se permet une réflexion quasi métaphysique sur le bien et le mal, l’art et l’existence humaine. C’est gore, complètement barré mais Matt Dillon y est génial. #Compétition #Cannes2018 pic.twitter.com/LDjsnZkYNO
— Wyzman Rajaona (@WyzmanRajaona) 14 mai 2018
WOW .
Que ce film ne soit pas en compétition me tue.Véritable comédie ultra dépréssive, une vision de l’enfer jamais très gore mais foutrement bien écrite.
De vraies réflexions, Matt Dillon superbe, encore une oeuvre majeure par #LarsvonTrier pic.twitter.com/LYVARCQIRg
— InThePanda (/Cannes) (@InThePanda) 15 mai 2018
#thehousethatjackbuilt LVT convoque tous ses démons dans un film-testament organique. L’épilogue d’une œuvre au goût de soufre. Final dément #cannes2018
— Thomas Gastaldi (@snooptom) 14 mai 2018
#TheHouseThatJackBuilt : le film le plus ambitieux formellement et thematiquement de Cannes. Assez bien supporté l’horreur car il y a le fameux humour danois en contrepoints. Cela m’a fait penser à #Faust de Sokourov.
— Yannick VELY (@yannickvely) 15 mai 2018
La maîtrise formelle est ahurissante, et Matt Dillon aurait largement mérité un prix d’interprétation masculine si le film avait été sélectionné en compétition #TheHouseThatJackBuilt
— Robin (@Piwi_47) 14 mai 2018
Pour d’autres, c’est peu ou prou de l’esbroufe
#TheHouseThatJackBuilt Autoportrait d’une part de Lars Von Trier en monstre de sadisme et de prétention, mysogine au dernier degré. Autocritique de ses excès. Confession sur son rapport à l’addiction. Et film de cinéma viscéral, drôle, malsain, hanté, fragile. #Cannes2018
— Michael Ghennam (@thelostMiG) 15 mai 2018
Revu #TheHouseThatJackBuilt ce matin. Le film se bonifie avec le temps, la scène du meurtre d’enfant choque moins, on profite plus ! #Cannes2018
— Saddam Husserl (@SaddamHusserl) 15 mai 2018
Lars Von Trier décrit l’épopée meurtrière d’un serial killer totalement perché à travers son oeuvre et son art. #TheHouseThatJackBuilt est dérangeant, violent, glaçant, extrêmement barbare, bizarrement très drôle aussi et (trop) provocateur. Ça va polémiquer, encore. #Cannes2018 pic.twitter.com/F27eqFmnSr
— Alexandre Janowiak (@A_Janowiak) 14 mai 2018
#TheHouseThatJackBuilt : c’est OUI.
Un peu malsain, pas mal cynique, assez chaos.
Dédicace aux strapontins qui ont claqués #Cannes2018 pic.twitter.com/5Dh9DgnDtU— Nicolas Santal (@nicolas_santal) 15 mai 2018
Curieux #TheHouseThatJackBuilt. Von Trier filme le mal pur comme une comédie sordide. Pur maîtrise dingo de mise en scene, Dillon est fou mais le film presque trop sage, trop clean par rapport à Antechrist. Von trier ironise et s’amuse plus qu’il ne choque
— Renan Cros (@imnotgenekelly) 14 mai 2018
Pour certains, ça n’a pas du tout pris
Sinon, c’est beaucoup moins intelligent et subversif que ça pense être. C’est principalement chiant (et insultant mais what else is new). #TheHouseThatJackBuilt
— Anaïs Bordages (@AnaisBordages) 15 mai 2018
#TheHouseThatJackBuilt, trip égocentrique un peu vain
—-#LarsVonTrier propose avec THE HOUSE THAT JACK BUILT un pur concentré de son cinéma, le tout en moins original et avec une recherche de la provocation un peu vaine.
—-#Cannes2018 https://t.co/MX4WegaYd6 pic.twitter.com/LZUCo7ofIL— Mathieu Gayet 👽 (@MgCinema) 15 mai 2018
Et bien voilà c’est officiel : pour la première fois de ma vie j’ai quitté une salle de cinéma avant la fin du film. Merci #LarsVonTrier #TheHouseThatJackBuilt
— AlyssiaRenard (@AlyssiaRenard) 14 mai 2018
#TheHouseThatJackBuilt est, de toute évidence, l’œuvre d’un cerveau malade, d’un cinéaste tombé dans les méandres de son propre esprit. Le film se veut volontiers poisseux mais il n’est jamais pleinement dérangeant malgré sa complaisance et sa gratuité. #Cannes2018 pic.twitter.com/rlq3L4azJ5
— Céline Bourdin (@bourdinceline) 15 mai 2018
Et nous, dans tout ça ?
À travers #TheHouseThatJackBuilt, Lars Von Trier parle avec ambivalence de lui et de son cinéma et livre une réflexion retorse sur le statut du mal dans l’art, jusqu’à un épilogue aussi visuellement splendide que son #Melancholia #Cannes2018
— TROISCOULEURS (@Trois_Couleurs) 15 mai 2018
Bonus : la standing-ovation pré-projection avec Lars von Trier en petit ourson psychopathe <3
Longue standing-ovation pour le grand retour de Lars Von Trier à Cannes ! La projection de The House that Jack built peut commencer
🎬⭐📺 Vivez #Cannes2018 #FestivaldeCannes2018 sur @canalplus 👉 https://t.co/Mpovrrs0az pic.twitter.com/1FG3XrXbBQ
— cinemacanalplus (@cinemacanalplus) 14 mai 2018