Des tweets extatiques…
Parvenir à faire des petits clichés bretons (l’étudiant en psycho à Rennes II, le chouchen, le beurre salé, le lait ribot, yermad !) un réjouissant running-gag, c’est le tour de force d’Honoré. Mais pas que. Tout est beau dans #Plaire#Cannes2018
— Guillaume Guguen (@gu__gu) 10 mai 2018
« Allo oui ? Bon bah voilà le Honoré est vraisemblablement canon. Son plus équilibré, son plus fluide et vibrant.#PlaireAimerEtCourirVite est un enchantement. Delalonchamp et Lacoste sont géniaux.
Bisous #Cannes2018 » pic.twitter.com/rOu2LXGQOq— Simon Riaux (@SimRiaux) 10 mai 2018
C’est beau #PlaireAimeretCourirVite . Le début et la fin des amours racontés avec un même élan. Le rythme est un peu décontenançant mais Vincent Lacoste est tellement génial, tellement émouvant qu’on ne voudrait pas qu’il disparaisse de l’écran.
Allez, vite le tome 2 !— Renan Cros (@imnotgenekelly) 10 mai 2018
Une ouverture d’une puissance évocatrice hallucinante, des comédiens en apesanteur, une mise en scène qui tient toujours le fil entre références, envolées romanesques et pureté émotionnelle
Ah et la photo arrache le squeele#Cannes2018#PlaireAimerEtCourirVite#ChialomètreActifpic.twitter.com/6luRL84OgJ— Simon Riaux (@SimRiaux) 10 mai 2018
#PlaireAimerEtCourirVite Un film à la fois grave, drôle et romantique où la menace du Sida est bien présente mais toujours sans pathos. Une peinture émouvante des années 90 avec plein de références ciné, littéraires et théâtrales. Une œuvre délicate et déchirante ! #Cannes2018pic.twitter.com/kWZ2qLvkEJ
— Σόνια 🐝🌈 (@Sundaay_Girl) 10 mai 2018
#PlaireAimerEtCourirVite saisit par la force tranquille des interprétations de Pierre Deladonchamps (superbe) et Vincent Lacoste (inattendu). Parfois un peu longuet, le résultat marque aussi dans ses moments d’émotion fugaces. Un Honoré bon cru ! #Compétition#Cannes2018pic.twitter.com/HwpVzUv4Zu
— Mehdi Omaïs (@MehdiOmais) 10 mai 2018
#Cannes2018 Avec #PlaireAimerEtCourirVite Christophe Honoré signe son plus beau film depuis Les Chansons d’Amour… Une idylle chronométrée entre un écrivain malade du SIDA et un jeune étudiant… La mort rode mais le film est lumineux notamment grâce aux références années 90. pic.twitter.com/7xVhFq44Dc
— Mathieu Charrier (@MaTCharrier) 10 mai 2018
Un film qui m’a plu (beaucoup), que j’aimerais que vous aimiez, alors courez-y vite ! #PlaireAimerEtCourirVite est à l’affiche dès ce soir et donc pas qu’à #Cannes2018 Très grands rôles pour @DeladonchampsP et Vincent Lacoste @ChHonorepic.twitter.com/QGEItd6E1w
— Brigitte Baronnet (@BBaronnet) 10 mai 2018
#PlaireAimeretCourirVite magnifique et bouleversant. Une valse des sentiments @DeladonchampsP sensible et grave. Vincent Lacoste illumine le film de sa nonchalante séduction. Les fantômes de Guibert, Koltes et Truffaut planent. Le meilleur film de C.Honoré #Cannes2018pic.twitter.com/DBi547P03j
— Grégory Duval (@GREGDUVAL) 10 mai 2018
Evidemment, le consensus est parfois difficile à trouver…
#PlaireAimerEtCourirVite espère jouer dans la cour de Robin Campillo, mais c’est horriblement raté. Interminable, non mis en scène, bons acteurs mal dirigés, dialogues insignifiants … quintessence du drame français insupportable !!!!
— Robin (@Piwi_47) 10 mai 2018
Je préfère être honnête : j’ai trouvé #PlaireAimerEtCourirVite horrible. Une torture.
Ça veut être Campillo sans comprendre sa mise en scène, Dolan sans saisir sa magie, c’est un calvaire qui va même jusqu’à se toucher sur la tombe de Truffaud.
Bref : plus jamais ça, pitié. pic.twitter.com/SpvaFG5J5d
— InThePanda (/Cannes) (@InThePanda) 10 mai 2018
Et nous, dans tout ça ?
C’est peu dire qu’on a été conquis, comme le suggère notre couv’. On a eu la chance de rencontrer le réalisateur Christophe Honoré et son alter-ego Vincent Lacoste et c’est à lire en ici.
https://www.youtube.com/watch?v=hQmCaEyhq58