« Once Upon A Time In Hollywood » de Quentin Tarantino: ce qu’en pensent les critiques sur Twitter

#OnceUponATimeInHollywood est une petite bombe mélancolique, drôle, d’un aboutissement total. Tarantino est un maître. Quant à Leonardo DiCaprio et Brad Pitt, ils méritent un prix d’interprétation commun. Ils sont divins. Que c’est bon le ciné comme celui-là putain ! #Cannes2019 pic.twitter.com/B6dlyNFXTY

— Mehdi Omaïs (@MehdiOmais) May 21, 2019

#OnceUponATimeInHollywood est l’œuvre cinéphile la plus aboutie de Tarantino. Elle rend hommage au ciné à chaque plan tout en conservant une fraîcheur propre à remettre en cause son propre cinéma. Le film est surprenant dans tous les sens du terme et les acteurs sont parfaits pic.twitter.com/zGDWsxDoiv

— Louis Lepron (@louislepron) May 21, 2019

#OnceUponATimeInHollywood est potentiellement le film le plus introspectif de Quentin Tarantino, et son plus fétichiste. Une déclaration d'amour à la puissance du bis qui l'a élevé. Des séquences somptueuses, mais aussi des trous d'air. Brad vole la vedette à Leo #Cannes2019

— Julien Lada (@JulienLada) May 21, 2019

Nostalgique, méta, à la fois drôle et poignant dans ce qu'il évoque en creux, #OnceUponATimeInHollywood est peut-être le film le plus ambitieux de Quentin Tarantino. Brad Pitt et Leo DiCaprio absolument déments. #Cannes2019

— Yannick VELY (@yannickvely) May 21, 2019

ONCE UPON A TIME…IN HOLLYWOOD – Historically dubious, thematically brilliant, QT finds his form in film that could win Palme d'Or or be picketed by audiences, or maybe both. Thrilling, provocative, blackly comical, intensely unsettling masterwork. #cannes2019

— Jason Gorber – at #Cannes2019 (@filmfest_ca) May 21, 2019

Quentin Tarantino’s brilliant exploitation black-comedy Once Upon A Time In Hollywood finds a pulp-fictionally redemptive take on the Manson nightmare: shocking, gripping, dazzlingly shot in the celluloid-primary colours of sky blue and sunset gold. Review later #Cannes2019

— Peter Bradshaw (@PeterBradshaw1) May 21, 2019

Alors oui, le final de #OnceUponATimeinHollywood est touchant et ça donne envie de revoir LA… mais quid du manque total d'unité ? De la gratuité de l'hommage très (auto)référentiel, du manque global de panache et des dialogues qui ne claquent jamais ? #Cannes2019

— Thomas Gerber (@Th_Gerber) May 21, 2019

#Cannes2019 Tarantino, il était un fake à Hollywood https://t.co/kk8Lb62rHp

— Libération (@libe) May 22, 2019

« Once Upon a Time… in Hollywood » : les ratés de la machine à remonter le temps de Quentin Tarantino #Cannes2019 https://t.co/rN1FO8oFBg

— Le Monde (@lemondefr) May 22, 2019