On explore le ciné algérien contemporain avec le nouveau TROISCOULEURS

Ça bouge du côté du cinéma algérien. Et c’est un petit miracle, dans un pays qui a vu son système de production, de distribution et de diffusion des films s’effondrer progressivement au fil des années 1980 pour sombrer complètement pendant la « décennie noire », la guerre civile des années 1990. Cette vitalité nouvelle bouillonne cet hiver avec la


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Ça bouge du côté du cinéma algérien. Et c’est un petit miracle, dans un pays qui a vu son système de production, de distribution et de diffusion des films s’effondrer progressivement au fil des années 1980 pour sombrer complètement pendant la « décennie noire », la guerre civile des années 1990. Cette vitalité nouvelle bouillonne cet hiver avec la sortie d’En attendant les hirondelles de Karim Moussaoui, dont l’une des héroïnes fait la couverture dansante de ce numéro, et des Bienheureux de Sofia Djama. Deux premiers longs métrages agités par le même désir de raconter la diversité, les espoirs et les contradictions d’un pays pris entre léthargie et envie d’avancer. Au sommaire également : Lynne Ramsay, Félix Moati, les lesbiennes dans le ciné d’horreur, Jean-Baptiste Thoret…