L’éclairage du Tutotal d’ARTE : il faut aller voir le nouveau Woody Allen rien que pour ses belles gonzesses

Stop la censure, merde ! Si vous vous interrogez à l’idée d’aller voir Wonder Wheel, le nouveau Woody Allen, n’hésitez plus : assis sur sa balançoire, notre nouveau chroniqueur ciné à qui on ne la fait pas nous séduit par ses arguments. Déjà, la bande-annonce du film nous replonge dans les années 1950. La belle époque


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Stop la censure, merde ! Si vous vous interrogez à l’idée d’aller voir Wonder Wheel, le nouveau Woody Allen, n’hésitez plus : assis sur sa balançoire, notre nouveau chroniqueur ciné à qui on ne la fait pas nous séduit par ses arguments. Déjà, la bande-annonce du film nous replonge dans les années 1950. La belle époque quoi, celle où on pouvait tâter les fesses de belles plantes qui passaient devant nos yeux tranquille (« Et si les femmes veulent pas se prendre des mains au cul, elles ont qu’à pas avoir de cul ! », résume avec sagesse papy Bernard – on a inventé un petit nom pour cet adorable perso adepte des donzelles avec un gros « pétard » comme des vioques « un peu défraîchies»). Et puis comme l’intrigue se passe dans un parc d’attraction, peut-être que son imbécile de fils trop « gros » pour la balançoire va se décider à faire un régime. Que ça fait du bien d’entendre une parole aussi libre !

#BIENPENSANCE