Expérience réussie
« Le Livre d’image » : Godard offre un émouvant collage d’histoire(s) menant aux contes de l’Arabie Heureuse. La voix pensante de JLG transforme le théâtre Lumière en cathédrale. « Avec les religions du livre, nous avons sacralisé le texte. Il fallait le livre d’image. »#Cannes2018 pic.twitter.com/ghIQ3HhrEd
— Carbone 👻 (@carbone_ink) 11 mai 2018
C’est bien Le Livre d’Images, moins que Adieu au Langage mais toujours touchant de voir un homme de cet acabit essayer d’inventer de nouvelles formes poétiques. On y est sensible ou pas, c’est évidemment un drôle d’objet #Cannes2018
— Félix H (@FelHaus) 11 mai 2018
Expérience ratée
Dans son Livre d’image #Godard déconstruit à nouveau le cinéma mais ne nous donne pas les clés pour en faire un nouveau #cannes2018
— cinopsis (@cinopsis) 11 mai 2018
#Cannes2018 je relirais bien le livre d’image par contre pas envie de le revoir.
— le mag cinema (@lemagcinema) 11 mai 2018
Trop hâte de lire des retours sur le nouveau Godard, pour lire une énième fois à quel point ce vieux vidéaste détestable sans âme est un génie absolu
— Thømas Messias ™ (@thomas_messias) 11 mai 2018
Le tweet qui nous fait entrevoir la possibilité d’engager DJ God’Art pour une after de folie
#LeLivredImages : Godard version Full YouTuber freestyle. Le cinema est trop petit pour lui. Parfois ça passe (Godard est le meilleur video-dj pour tes soirées) parfois ça coince (toutes les saillies politiques). Mais le dernier plan et la dernière phrase sont sublimes.
— Renan Cros (@imnotgenekelly) 11 mai 2018
Les tweets qui nous perturbent profondément
Et là godard nous montre un biopic sur Michel Hazanavicius. #livredimage #cannes2018
— Yannick VELY (@yannickvely) 11 mai 2018
Record : l’un(e) d’entre nous est sorti au bout de 10 mn du #Godard , #lelivredimages non par ennui mais pour le stress que génère le début du film #Cannes2018
— le mag cinema (@lemagcinema) 11 mai 2018
J’ai adoré le premier tiers et sa richesse thématique de ce qu’est la nature même d’une image de cinéma.
J’ai aimé la manière dont Godard relie ce traité théorique à son engagement politique dans le second tiers.
J’ai RIEN capté dans le dernier tiers L’OL.#LeLivreDImages— Julien Lada (@JulienLada) 11 mai 2018
Le Livre d’Image : très ambitieux cross-over entre Oui-Oui, Carmen Cru fait du surf et Doc Savage contre l’AVC.
Jean-Luc Godard a inventé le post-troll radioactif. pic.twitter.com/O0Qz6fjAty
— Simon Riaux (@SimRiaux) 11 mai 2018
Et nous, dans tout ça ?
Avec #Lelivredimages, Godard livre un essai puissant, punk et politique, sur la violence de l’acte de représenter en dérèglant sons, images et références flmiques. On est un peu sonnés mais réjouis #Cannes2018
— TROISCOULEURS (@Trois_Couleurs) 11 mai 2018