En vidéo : une analyse éclairante de Holy Motors de Leos Carax par 7 minutes de réflexion

Il n’est jamais trop tard pour revisiter Holy Motors (2012), le manifeste poétique (et dernier long métrage à ce jour) du cinéaste Leos Carax. Dans ce nouvel épisode de la très chouette série web 7 minutes de réflexion, Charles Bosson soulève le capot de cet engin de rêve et revient sur la manière dont Carax a conçu le


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Il n’est jamais trop tard pour revisiter Holy Motors (2012), le manifeste poétique (et dernier long métrage à ce jour) du cinéaste Leos Carax. Dans ce nouvel épisode de la très chouette série web 7 minutes de réflexion, Charles Bosson soulève le capot de cet engin de rêve et revient sur la manière dont Carax a conçu le film comme un dialogue explicite avec sa propre filmo, ainsi qu’un hommage à l’histoire du cinéma (notamment aux classiques Le Testament du docteur Cordelier de Jean Renoir ou Les Yeux sans visage de Georges Franju). Il y a beaucoup de petits bijoux d’archives, comme un extrait inédit du premier court de Carax, Stangulation Blues (1981), ou encore la vidéo du casting de Denis Lavant, alors acteur inconnu de 22 ans qui se présente à la caméra en écoutant When I Live My Dream de David Bowie. À voir et à revoir en attendant le prochain Carax, qui a l’air complètement dingue et qui sortira prochainement (ça s’appelle Annette, c’est une comédie musicale avec Adam Driver et Michelle Williams et le groupe des Sparks a collaboré avec le réalisateur !).

Et puis on ne peut pas vous priver de ce dernier plaisir (extrait de Mauvais Sang, 1986)  :