Uma Thurman ne dirait pas le contraire, les femmes ont du relief et du caractère chez Quentin Tarantino. À coups de scènes de fight intenses et de dialogues crus, Philip Brubaker nous montre comment les femmes se battent aussi bien, mais prennent également aussi cher que les hommes dans ses films. Ça se confirme dans Kill Bill (2003), avec la domination incontestée du perso de Beatrix Kiddo, ou encore dans Les Huit Salopards (2015), avec le perso bien hardcore de Daisy Domergue – la pauvre est ensanglantée, amochée et quasi édentée. D’un côté comme de l’autre, on en prend plein les yeux.
En vidéo: Tarantino est-il féministe?
Uma Thurman ne dirait pas le contraire, les femmes ont du relief et du caractère chez Quentin Tarantino. À coups de scènes de fight intenses et de dialogues crus, Philip Brubaker nous montre comment les femmes se battent aussi bien, mais prennent également aussi cher que les hommes dans ses films. Ça se confirme dans Kill Bill (2003),