Dans ses films, le cinéaste russe n’a de cesse de mettre en scène les portes, qu’elles soient coulissantes, entrebâillées ou ouvertes, en extérieur comme en intérieur. Solaris (1972), Stalker (1979), Nostalghia (1983), Le Sacrifice (1986)… La vidéo de Daniel Mcilwraith nous rappelle cette tendance tarkovskienne. Dans des décors tour à tour rustiques et modernes, encombrés ou vides, en noir et blanc, sépia ou couleur, le réalisateur manipule l’espace grâce à sa caméra, en usant souvent du travelling avant/arrière pour isoler ses personnages. La porte devient ainsi le marqueur d’une séparation entre le spectateur et le personnage.
En vidéo, les portes ouvertes du cinéma de Tarkovski
Dans ses films, le cinéaste russe n’a de cesse de mettre en scène les portes, qu’elles soient coulissantes, entrebâillées ou ouvertes, en extérieur comme en intérieur. Solaris (1972), Stalker (1979), Nostalghia (1983), Le Sacrifice (1986)… La vidéo de Daniel Mcilwraith nous rappelle cette tendance tarkovskienne. Dans des décors tour à tour rustiques et modernes, encombrés