En vidéo, comment Hitchcock manie les points de vue avec génie

Si le travail d’Hitchcock vaut des heures, voire des jours d’analyse, la vidéo double-écran de Jorge Luengo Ruiz n’en reste pas moins passionnante : avec ces extraits de 39 marches (1935), Jeune et innocent (1937),  Rebecca (1940) ou bien évidemment Fenêtre sur cour (1954), on voit comment le cinéaste fait en sorte de passer de la focalisation externe à un point de vue interne en


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Si le travail d’Hitchcock vaut des heures, voire des jours d’analyse, la vidéo double-écran de Jorge Luengo Ruiz n’en reste pas moins passionnante : avec ces extraits de 39 marches (1935), Jeune et innocent (1937),  Rebecca (1940) ou bien évidemment Fenêtre sur cour (1954), on voit comment le cinéaste fait en sorte de passer de la focalisation externe à un point de vue interne en un claquement de doigts. En terme de narratologie, c’est du génie.

Et puisqu’on parle d’Hitchcock, on vous conseille de jeter un œil à cet extrait de la saison 5 de Bates Motel (une série qui remonte jusqu’à l’adolescence de Norman Bates de Psychose) avec Rihanna qui rejoue la mythique scène de la douche (big up Janet Leigh !) :