L’AVIS DE LA RÉDAC’
THE ZONE OF INTEREST : J'aime beaucoup, beaucoup, beaucoup ne pas avoir de mots à la sortie d'un cinéma. #Cannes2023 pic.twitter.com/J8Zy3roKSk
— Margaux Baralon (@MargauxBaralon) May 19, 2023
NOTRE MINDSET CE MATIN À LA RÉDAC’ PARISIENNE
nous devant vos avis turbo-clivés sur The zone of interest de Glazer pic.twitter.com/BsTfIDUUPk
— Eric Vernay (@ericvernay) May 19, 2023
Il m’aura fallu une (courte) nuit pour laisser refroidir la gifle du nouveau film de Jonathan Glazer, The zone of interest.
Ou le quotidien filmé au plus près d’une famille allemande dont le père est le gestionnaire du camp d’Auschwitz.
La dissonance constante et odieuse entre… pic.twitter.com/dUoVeSkiCe— Nicolas Martin (@NicoMartinFC) May 20, 2023
La vie de famille du commandant d'Auschwitz tout près du camp et l'horreur en hors champ. The Zone of Interest de Jonathan Glazer est d'une puissance assourdissante, intensifiée par le remarquable travail sur le son. Le contrechamp final me hante depuis hier soir.#Cannes2023 pic.twitter.com/XJfin5kUSl
— Marie Serale (@marie_serale) May 20, 2023
Il m’aura fallu une (courte) nuit pour laisser refroidir la gifle du nouveau film de Jonathan Glazer, The zone of interest.
Ou le quotidien filmé au plus près d’une famille allemande dont le père est le gestionnaire du camp d’Auschwitz.
La dissonance constante et odieuse entre… pic.twitter.com/dUoVeSkiCe— Nicolas Martin (@NicoMartinFC) May 20, 2023
Libre comme l’art…Pour évoquer les camps nazis, le cinéaste Jonathan Glazer a imaginé un dispositif glaçant dans «The Zone of Interest» : toute l’horreur passe par le hors-champ et la bande son, alors que les images racontent le bonheur familial du commandant SS @GarconsOfficiel pic.twitter.com/9PndnpCljb
— Philippe Rouyer (@philippe_rouyer) May 20, 2023
#Cannes2023 "The Zone of Interest" (Jonathan Glazer). Quel était le hors-champ d'Auschwitz, existe-t-il une face extérieure à l'horreur? Le film n'y répond pas mais montre cet envers avec une lucidité affolante. Une oeuvre impossible à cataloguer, de celles qu'on espère. pic.twitter.com/968scZFf16
— Pascal Gavillet (@PascalGavillet) May 19, 2023
The Zone of Interest de Jonathan Glazer. Le film d'horreur de ce 76e Festival. Entre cinéma traditionnel et expérimental. L'être humain montré comme le monstre suprême, aveugle et sourd face à l'innommable. Ça sera dans le palmarès et s'ils sont punk, c'est la Palme. #Cannes2023 pic.twitter.com/A5of8sbIdw
— thomas (@strayydog) May 19, 2023
The Zone of interest | Jonathan Glazer
La vie domestique, l'horreur en fond sonore.
Déflagration totale.#Cannes2023 pic.twitter.com/v9IpiGwiQ1— Matthieu Touvet@Cannes🌴🌴 (@MattTouvet) May 19, 2023
Effectivement, The Zone of Interest de Jonathan Glazer est très grand, glaçant, important. Ce serait (enfin) une grande Palme.
Voilà un cinéaste qui fait du cinéma pour les bonnes raisons, qui use du style – sans en abuser – pour préciser son propos. Brillant. pic.twitter.com/vUFpU4kyWq
— Pierre X. Garnier (@pierrexgarnier) May 20, 2023
THE ZONE OF INTEREST: The first four-star film at #Cannes2023 is a nightmare bathed in sunshine. Jonathan Glazer presents the blissful Nazi family in the garden estate across from the ovens of Auschwitz, who seek to ignore the reality of their inhumanity. An icy masterpiece. pic.twitter.com/hoIJDuJeDb
— Peter Howell 🖊 (@peterhowellfilm) May 20, 2023
« Le premier film quatre étoiles de Cannes 2023 est un cauchemar baigné de soleil. Jonathan Glazer met en scène une famille nazie béate, dans sa propriété-jardin située en face des fours d’Auschwitz, et qui cherche à ignorer la réalité de son inhumanité. Un chef-d’œuvre glaçant. »