Future palme ?
#Capharnaum marque un tournant dans le cinéma de #NadineLabaki. À travers le regard d’un enfant dans un bidonville, elle offre une vision pleine d’énergie de l’âpreté du réel. On mise sur une place au palmarès #Cannes2018 pic.twitter.com/SvQiAGAjfC
— Philippe Rouyer (@philippe_rouyer) 17 mai 2018
Filmé comme un thriller, #Capharnaum est le film choc et déchirant de cette fin de compétition , porté par un jeune comédien exceptionnel de vérité et de spontanéité. Le palmarès leur tend les bras #Cannes2018
— Loris Quinto (@LorisQuinto) 17 mai 2018
Et puis mince, enfin un film qui questionne, qui chamboule, qui donne au cinéma un vrai pouvoir. Bravo mille fois @NadineLabaki pour ce magnifique film ! #Capharnaum #cannes2018 @Festival_Cannes pic.twitter.com/rqG79p4mFo
— Stéphanie Chermont (@StephChermont) 17 mai 2018
Accueil tiède
Trop fort. Et trop pathos.
Le film marque par séquences brillantes à la direction complexe et foutrement intelligente.
Mais quand les violons sortent, on plonge dans le cliché ridicule.Aussi puissant que ridicule. Je suis vraiment divisé. pic.twitter.com/zEP8QVL8Ms
— InThePanda (/Cannes) (@InThePanda) 17 mai 2018
Gros cafard
un rollercoaster social, confus et sensationnaliste, avec la caméra à l’épaule nauséeuse du film coup de poing qui veut nous dire (crier) quelque chose d’important (mais quoi ?) très très près de l’oreille : bref, un film nécessaire 2 ouf #capharnaum #Cannes2018
— Eric Vernay (@ericvernay) 18 mai 2018
Le coup du gamin qui porte plainte parce qu’ilnest venu au monde, ça aurait pu donner un joli film absurde à la Capra. Et pis non. #Capharnaum #Labaki #Cannes2018
— maid marion (@_maid_marion) 17 mai 2018
Mention spéciale
#Cannes2018 Le vrai culot consisterait à décerner le Prix d’interprétation masculine au(x) petit(s) garçon(s) de #Capharnaum de @NadineLabaki, bien plus convaincant(s) et touchant(s) que ces acteurs adultes et professionnels qui débitent des automatismes d’école d’art dramatique.
— JeanPhilippe Guerand (@jipe0043) 18 mai 2018
Et nous, dans tout ça ?
Émouvant #Capharnaum de Nadine Labaki, qui raconte la survie d’un enfant pauvre au Liban incarné par un tout jeune acteur impressionnant #Cannes2018
— TROISCOULEURS (@Trois_Couleurs) 17 mai 2018