Blow Up nous dévergonde avec son analyse des « Génériques de nanars français »

La magic touch d’un nanar tient aussi à son générique. Il y a ceux, plutôt sages, qui s’en tiennent à un esprit bon enfant et bon vivant (le sublime Planque ton fric, je me pointe), mais il y a aussi des coquins, ceux qui n’hésitent pas à pousser le bouchon loin (le si bien-nommé On se


ywyymmvkotmtyzbkms00mdvmlwizogytmtm1ytrlnmu2mjk3 canarrivequamoi 2

La magic touch d’un nanar tient aussi à son générique. Il y a ceux, plutôt sages, qui s’en tiennent à un esprit bon enfant et bon vivant (le sublime Planque ton fric, je me pointe), mais il y a aussi des coquins, ceux qui n’hésitent pas à pousser le bouchon loin (le si bien-nommé On se calme et on boit frais à Saint-Tropez). Il n’y a qu’à écouter les saxos en folie ou la voix rauque d’Alain Delon pour se mettre tout de suite dans une ambiance très olé-olé. Mais la palme du générique revient à Qu’est-ce qui fait craquer les filles ? (1982) de Michel VocoretOn salue son côté avant-gardiste, génialement immersif et infiniment rigolo.  On va écrire une ode au nanar sous peu. Merci Blow Up !