Dans leurs dents
Venère et pourtant réconciliateur, #BlacKkKlansman prouve que Spike Lee est en forme. Sa charge anti-Trump fera certainement pas avancer le schmilblick mais une respiration pareille à se foutre de la gueule des neuneus du KKK est toujours bonne à prendre. #Cannes2018
— Julien Lada (@JulienLada) 14 mai 2018
Est-ce qu’on tiens l’un des plus gros prétendant à la palme cette année ? Est ce que c’est un film important pour nous et notre époque ? Est ce que Spike Lee est de retour à 100% ? Est ce que c’est tout simplement excellent ?
Oui.#Blackkklansman #Cannes2018 #CannesErreur42 pic.twitter.com/JYOdZNHl2c
— Quentin (@QuentinLGH) 14 mai 2018
#BLACKkKLANSMAN, où Spike Lee livre son pamphlet politique #BlackLivesMatter sous forme de polar grand public. L’ironie pour surligner une nouvelle fois la violence profonde d’une nation, et l’état du pays aujourd’hui. Percutant. #Cannes2018
— Mathieu Gayet 👽 (@MgCinema) 14 mai 2018
Bien #BlacKkKlansman ! Drôle et très vener. Spike Lee assure à la mise en scène et les acteurs sont excellents.
— Renan Cros (@imnotgenekelly) 14 mai 2018
Spike Lee est triste et énervé. Son #BlacKkKlansman lance des slogans qui n’ont pas pris une ride. Et c’est tragi-comique. De la politique au carré méchamment bien emballée.
— EmmaCTeaser (@EmmaCTeaser) 14 mai 2018
Déception amoureuse
J’ai bien peur qu’on ne retrouvera jamais le grand Spike Lee. 😔 #Cannes2018
— David Honnorat (@IMtheRookie) 14 mai 2018
#Blackkklansman : Spike Lee se paye Donald Trump et crie haro sur l’extrémisme et le racisme sévissant encore et toujours aux USA. Je regrettte que sa démarche, importante, manque à ce point de cinéma. Une idée de mise en scène. Voire deux. Tout au plus. #Compétition #Cannes2018 pic.twitter.com/X9C6xpOUr8
— Mehdi Omaïs (@MehdiOmais) 14 mai 2018
Le come back de #SpikeLee déçoit, tiraillé entre farce tarantinesque et pamphlet michaelmoorien. Assez balourd au final #Blackkklansman #Cannes2018
— Baptiste Etchegaray (@batetche) 15 mai 2018
Tellement déçue par le film de Spike Lee. Aucun suspense, une narration plate et moralisatrice alors que le sujet était hyper palpitant… dommage ! #Cannes2018 #blackkklansman
— Stéphanie Chermont (@StephChermont) 14 mai 2018
Et nous, dans tout ça ?
#SpikeLee : une mise en scène très classique au service du propos, à la fois pédagogique et militant. L’humour mordant vient renforcer la charge politique (et Trump prend cher). #BlacKkKlansman #Cannes2018
— Juliette Reitzer (@JulietteReitzer) 15 mai 2018