Bertrand Bonello, nuit partout : échange autour de « Nocturama »
J’ai eu l’idée du film pendant que je préparais « L’Apollonide. Souvenirs de la maison close », en 2010. J’étais noyé dans mes costumes d’époque, je voulais passer à quelque chose de très contemporain. Je suis parti d’un ressenti : une tension, une sensation très forte que j’ai depuis longtemps quand je marche dans la rue. Et aussi l’envie de faire un film qui soit plutôt du côté de l’action.