Barry Jenkins prépare un biopic sur le chorégraphe Alvin Ailey

Un film biographique (et potentiellement dansant et musical) qui retrace le parcours d’un des plus grands chorégraphes du XXème siècle. Après une trilogie implicite consacrée à des fresques amoureuses contrariées (Medicine for Melancholy, Moonlight et Si Beale Street pouvait parler) et des personnages en prise à la violence sociale, le réalisateur prend le chemin (épineux)


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Un film biographique (et potentiellement dansant et musical) qui retrace le parcours d’un des plus grands chorégraphes du XXème siècle.

Après une trilogie implicite consacrée à des fresques amoureuses contrariées (Medicine for Melancholy, Moonlight et Si Beale Street pouvait parler) et des personnages en prise à la violence sociale, le réalisateur prend le chemin (épineux) du biopic. Son prochain film, pas encore titré et produit par Fox Searchlight, s’inspirera d’après Deadline de la vie du célèbre chorégraphe et danseur afro-américain Alvin Ailey.

Formé au jazz par de grands noms tels que Katherine Dunham et Doris Humphrey, ce Texan fonde en 1958 sa propre compagnie new yorkaise avant de populariser la danse contemporaine à travers le monde grâce à des tournées internationales de ballets. Il meurt en 1986 du sida, et devient une icône queer après son décès. Basé sur la biographie de Jennifer DunningAlvin Ailey : A Life in Dance, et réalisé en collaboration avec la compagnie Alvin Ailey American Dance Theater, le film sera écrit par Julian Breece, et la directrice artistique Judith Jamison supervisera les chorégraphies.

Image: Copyright Tatum Mangus / Annapurna Pictures