Au micro de Radio Nova, Christophe Honoré parle de son rapport au genre et fait part de son amour pour les 70’s

Dans l’émission Dans le genre, diffusée sur Radio Nova et animée par la journaliste Géraldine Sarratia, Christophe Honoré se penche sur son rapport au genre et à la sexualité. Invité par rapport à la sortie de son livre Ton père (éd. Mercure de France, Prix Médicis 2017), dans lequel il aborde le thème de l’homoparentalité,


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Dans l’émission Dans le genre, diffusée sur Radio Nova et animée par la journaliste Géraldine Sarratia, Christophe Honoré se penche sur son rapport au genre et à la sexualité. Invité par rapport à la sortie de son livre Ton père (éd. Mercure de France, Prix Médicis 2017), dans lequel il aborde le thème de l’homoparentalité, le cinéaste revient sur ses premiers émois lorsqu’il était enfant et ado en Bretagne et sur son goût pour les seventies, sensuelles et désinhibées. Né pile en 1970, il raconte notamment sa proximité de cœur avec la bande de Philippe Garrel, des Velvet Underground et surtout de Nico, l’icône du groupe, qui jouait sans complexe avec l’ambiguïté de sa voix grave. C’est d’ailleurs un de ses titres, « Frozen Warnings », qu’il a choisi comme carte blanche musicale : « Ce qui est beau chez Nico, c’est qu’on sait pas d’où elle chante.» On attend avec impatience le prochain film d’Honoré, Sorry Angel, qui racontera l’histoire d’amour tortueuse entre un étudiant (Vincent Lacoste) et un dramaturge (Pierre Deladonchamps) entre Rennes et Paris dans les années 1990.