Au sommet
Heureux de finir la journée de projection avec #JiaZhangke au meilleur. #LesÉternels, grande fresque romanesque qui associe le destin de la maîtresse d’un gangster et les mutations de la Chine, avec une réflexion sur le temps qui passe, la solitude et la trahison pic.twitter.com/4gf9vG4CF1
— Philippe Rouyer (@philippe_rouyer) 11 mai 2018
#cannes2018 tiens un sérieux prix d’interprétation féminine : l’actrice des #Éternels de #JiaZhangke, par ailleurs mon film préféré depuis le début de la compétition pic.twitter.com/vSF4YNRa9c
— Stephane Leblanc (@sl20min) 11 mai 2018
#Cannes2018 La magie du cinéma de #JiaZhangke, c’est qu’on y sent bouger la Chine film après film, chacun d’eux imposant sa propre boucle temporelle. #Leseternels brille surtout de la flamme de son égérie #ZhaoTao dont la prestation mériterait un Prix d’interprétation féminine. pic.twitter.com/nf9x1rC2Nz
— JeanPhilippe Guerand (@jipe0043) 12 mai 2018
Élévation vers les sommets de la pègre et de la puissance d’une femme incroyable. Jia Zhang Ke qui émerveille encore une fois. Zhao Tao est formidable, prix d’interprétation féminine.#Cannes2018#leseternels#Ashisthepurestwhite
— Jonathan Pichot (@jonathan44la) 11 mai 2018
Mauvaise pente
Joli mais décevant #LesEternels / #Ashisthepurestwhite. Un menu best of Jia Zhang-Ke avec paysa indu, mélo romanesque et karaoke pop. Moins fort que Touch Of Sin, moins émouvant que Mountains may depart.
Mais prix d’interprétation en vue pour Zhao Tao #Cannes2018— Renan Cros (@imnotgenekelly) 11 mai 2018
#cannes2018 #leseternels de Jia Zhang-Ke est un film formellement magnifique avec des plans qui restent en tête. Une histoire de clans, de fidélité, de loyauté.. mais c’est quand même rapidement longuet et ennuyeux.. pic.twitter.com/yWU8AHS85Y
— Mathieu Charrier (@MaTCharrier) 12 mai 2018
#Cannes2018 6e film en compet #LesEternels : très belle mais assez creuse étude sur la loyauté et l’amour sur find de pègre chinoise… @LVT_RTL pic.twitter.com/r0oYCAaKPC
— Stéphane Boudsocq (@Stephbou08) 12 mai 2018
Chute libre
#LesEternels de Jia Zhangke ne laissera aucune trace d’éternité dans ma mémoire. Ce réalisateur, malgré un savoir-faire indubitable, propose un cinéma qui ne me parle pas, qui ne me touche pas et qui m’ennuie exponentiellement. #Compétition #Cannes2018 pic.twitter.com/Rnw5E4gvE1
— Mehdi Omaïs (@MehdiOmais) 12 mai 2018
#LesEternels : 2h21, effectivement, c’est une éternité !
L’Extrême-Orient est à l’honneur avec la projection de « Les Eternels » réalisé par Jia Zhang-ke. On espérait un thriller pêchu made in China, bien mal nous en a pris !#VLdémonte #Cannes2018 https://t.co/kEu1de1Rad
— La Salle de Démontage (@SalleDemontage) 11 mai 2018
Et nous, dans tout ça?
Zhao Tao impériale dans le féministe #LesEternels de Jia Zhangke. Elle campe à nouveau une héroïne à la force de caractère incroyable face à un chef de pègre beaucoup bien plus faible qu’il le croit #Cannes2018
— TROISCOULEURS (@Trois_Couleurs) 11 mai 2018