L’amour
Tomber amoureux d’un film, flasher complètement dessus. Sortir d’une salle de cinéma heureux et triste. #Asako est une merveille #Cannes2018
— Romain Le Vern (@RomainLeVern) 14 mai 2018
#NetemoSametemo / #Asako : une petite bulle de cinéma ouaté et délicat sur les passions impossibles à oublier et les amours qui s’effondrent comme des châteaux de cartes. Un amour de film, peut être un peu trop léger pour avoir l’air d’une Palme #Cannes2018
— Julien Lada (@JulienLada) 14 mai 2018
#Asako, de #RyusukeHamaguchi, une romance qui ravit le coeur de notre envoyé spécial #BernardAchour, à #Cannes2018 💞 pic.twitter.com/jkLPiIZvJi
— Pop’Up (@Pop_and_up) 14 mai 2018
Le trouble
Troublant #Asako qui fait de ses défauts des qualités et inversement. Le film est sans cesse changeant, beau mais agaçant, léché mais parfois prisonnier de sa mise en scène. Il marque, en tout cas, la naissance d’un auteur à suivre. #Cannes2018 pic.twitter.com/Hke2ZdNYa0
— Céline Bourdin (@bourdinceline) 14 mai 2018
Quel curieux film #Asako, étrange étude sentimentale où la versatilité de son héroïne et la placidité du récit déconcertent au plus haut point. C’est ni agréable, ni désagréable, c’est une zone… trouble !#Cannes2018
— Dom Maury Lasmartres (@Silence_Action) 14 mai 2018
Le désamour
Vu #Asako en compet officielle de #Cannes2018
Et bah dis donc. Je savais pas qu’on selectionnait en compet des dramas japonais tout perrave. Absence de mise en scène et parti pris de téléfilm, 2h qui ressemblent à 7 et des persos d’un vide abyssal.
Ridicule, je rigole encore. pic.twitter.com/XXAHHRCyvL
— InThePanda (/Cannes) (@InThePanda) 14 mai 2018
Et nous, dans tout ça?
Après le film à épisodes Senses, le prometteur jeune Japonais Hamaguchi livre une étude du sentiment atmosphérique et délicate #Asako1et2 #Cannes2018
— Juliette Reitzer (@JulietteReitzer) 14 mai 2018
#Asako1et2 : Comme dans Senses, Hamaguchi déplie les sentiments les plus troubles avec une infinie délicatesse #cannes2018
— TROISCOULEURS (@Trois_Couleurs) 14 mai 2018