CERTAINS L’AIMENT CHAUD
Entre le mélo mélancolique et le cauchemar fiévreux porté par une époustouflante Ana de Armas, #Blonde est une tragédie sensorielle suffocante faîte de douleur, de solitude et de désespoir, un miroir déformant brutal et déglamourisé difficile à regarder, mais impossible à oublier pic.twitter.com/KXzVpM37ii
— Fucking Cinephiles (@FuckCinephiles) September 28, 2022
Long cauchemar où luttent Marilyn Monroe et Norma Jeane, l'icône hollywoodienne et la femme-enfant, #Blonde est un film de formes, graphiques (Lynch n'est pas loin) et humaines (le corps est au premier plan). Un film d'horreur exténuant. Disponible sur @NetflixFR. pic.twitter.com/ronqi5KdhM
— JΛCK (@JackOCine) September 28, 2022
Très dense,infiniment bien conduit, #Blonde est un patchwork déguisé en maelström de la psyché d’une NJ proie de Tragédie.Les clichés iconiques prennent vie,le sol parqué de cauchemar donne la nausée.AnadeArmas nous somme de rester debout devant l’horreur de l’ampoule qui explose pic.twitter.com/rkpkty7wpR
— Chris Preaker (@chrisval07) September 28, 2022
#BLONDE, c’est aujourd’hui sur Netflix. Et c’est prodigieux.
PS : ceci n’est pas un biopic. https://t.co/ToWOizkzq1
— Mehdi Omaïs (@MehdiOmais) September 28, 2022
#Blonde nous plonge dans un faux-biopic cauchemardesque sur M.Monroe.
Dans un style très « Lynch », le récit nous étouffe dans les troubles diverses de l’icône et ses difficultés.
Même si trop long, le film possède quelques scènes brillantes.
Ana de Armas fonce vers l’Oscar. pic.twitter.com/AcUqSz8usN
— BatJoss 🦇 (@batjosss) September 28, 2022
CLINQUANT ET RACOLEUR
Fascination pour le viol, images pro-life et abêtissement de la figure de Marilyn Monroe, #Blonde sur Netflix est un enfer interminable durant lequel les gribouillages visuels de Andrew Dominik et une Ana de Armas convaincante ne suffisent pas à masquer la vacuité de l’ensemble. pic.twitter.com/ZZXhc4RYqy
— Mime van Osen (@MimeOsen) September 28, 2022
malgré ses attraits (De Armas hantée,photo racée, 2-3 basculements oniriques lynchiens) et une narration en puzzle, #Blonde reste tristement arrimé à son épais fil rouge oedipien: la promesse d'un vertige digne de Mulholland Drive accouche d'une version chic & choc d'Elephant Man pic.twitter.com/dN8G59qqlc
— Eric Vernay (@ericvernay) September 28, 2022
Étrange exercice de style mortifère que ce #Blonde. la dichotomie entre Norma et Monroe est annulée par l’imitation permanente de Marilyn par Ana De Armas et la vision sans vie d’Andrew Dominik. Un soap clinquant et horrifique qui rame derrière Mulholland Drive. #netflix pic.twitter.com/sf3hizawhq
— wolf rafael (@rafaelwolf1703) September 28, 2022
#Blonde is an exploitative, misogynistic, borderline torture film that berates an already tragic figure. De Armas is good but the cruelty behind the made up narrative and the unfocused direction takes away from her presence. This was an awful experience. Painful to watch. One ⭐️! pic.twitter.com/xQgjVCuoM8
— 🇵🇷 Gabriel T. Acevedo 🏳️🌈 He, El, They (@Gabuchogram) September 29, 2022
« #Blonde est un film racoleur, misogyne, à la limite de la torture, qui s’acharne sur une figure déjà tragique. De Armas est bonne, mais la cruauté qui se cache derrière la fiction et la mise en scène imprécise lui ôte toute présence. C’était une expérience affreuse. Douloureux à regarder. Un ⭐️ ! »
Image (c) Netflix