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Un couteau dans le cœur de Yann Gonzalez : ce qu’en pensent les critiques sur Twitter
- Trois Couleurs
- 2018-05-18
Poignardés en plein cœur
#Cannes2018 vu #UnCouteauDansLeCoeur entre #EricRohmer et #JohnCarpenter une série z assumée et un film d’amour sur fond d’homophobie naissante à la fin des 70’s… L’expérience du @Festival_Cannes ! @LVT_RTL pic.twitter.com/aRgQRb3WK5
— Stéphane Boudsocq (@Stephbou08) 17 mai 2018
un « Cruising » méta façon De Palma, thriller mélo et baroque souvent très beau (le dernier mouvement plus onirique m’a moins emballé) et non sans éclats comiques (génie de Nicolas Maury), Vanessa Paradis merveilleuse en productrice de porno gay#uncouteaudanslecoeur #Cannes2018
— Eric Vernay (@ericvernay) 18 mai 2018
My favourite film of all times? Maybe #UnCouteauDansLeCoeur #Cannes2018
— FilmLand Empire Ash is Purest White (@FilmLandEmpire) 18 mai 2018
Premières observations à chaud #uncouteaudanslecoeur #Cannes2018 pic.twitter.com/zkLT9nEz8l
— Ali Naderzad (@alinaderzad) 18 mai 2018
Du cœur à l’ouvrage, mais…
Le gros point noir de #UnCouteauDansLeCoeur, c’est Vanessa Paradis. Sorry but not sorry. Vive le renouveau du cinéma de genre français qui ose, nostalgique et parfois imparfait. Gloire à Mandico, Gonzalez, Poggi et Vinel ! #Cannes2018
— Percolatrice (@Percolatrice) 18 mai 2018
Couteaux tranchants
J’adhère à l’esthétique, à l’hommage aux giallos et aux phases où la photo se lâche complètement…
Mais ce n’est pas parce qu’on dit « J’assume être une série Z » qu’on fait un bon film
En résulte un truc informe et insuportable. Sans moi.#Cannes2018 pic.twitter.com/cbgdFtTbQq
— InThePanda (/Cannes) (@InThePanda) 18 mai 2018
Quelle déception que #UnCouteauDansLeCoeur. Sorte de nanar à l’ambiance néoneuse, à l’histoire tirée par les cheveux et surexplicatif. Quelques idées de mise en scène mais globalement un gros raté. Et en plus, ça joue aussi mal que dans des films erotico-porno. Aïe !#Cannes2018 pic.twitter.com/0g6CAbb79j
— Alexandre Janowiak (@A_Janowiak) 17 mai 2018
Grand moment d’embarras face à #UnCouteauDansLeCoeur, sorte d’hommage au giallo qui fleure le nanar fluo où tous les acteurs récitent leurs textes comme des écoliers en plein spectacle de fin d’année. Palme d’Or du film le plus horripilant de la sélection. #Cannes2018 pic.twitter.com/yBvhWtUfEp
— Céline Bourdin (@bourdinceline) 17 mai 2018
Génération Y
#Cannes2018 #unCouteauDansLeCoeur a tout d’une série Y quelque part entre une série Z et une série X.
— le mag cinema (@lemagcinema) 18 mai 2018
Et nous, dans tout ça ?
#UnCouteauDansLeCoeur : on en attendait beaucoup et on n’a pas été déçus. Magnifique giallo romantique et entêtant qui évoque Dario Argento et Phantom Of The Paradise de De Palma #cannes2018
— TROISCOULEURS (@Trois_Couleurs) 18 mai 2018