“The Brutalist” de Brady Corbet : ce qu’en pensent les critiques sur X

FLORENT BOUTET pour Le Bleu du Miroir

“Brady Corbet nous livre un sacré film avec son Brutalist. C’est bordélique et foutraque bien souvent, mais quel amour du cinéma, de la recherche, du jeu. Adrien Brody magistral.”

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MICHAEL GHENNAM pour Les Fiches du Cinéma

“La filmo de Corbet était jusqu'à présent inégale : il passe un cap avec ce film au souffle épique, qui s'éparpille encore un peu trop dans sa seconde moitié, mais évoque avec force, sous couvert d'architecture, l'échec du rêve américain. Assez unique en son genre.”

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MARC VAN DE KLASHORST pour ICSfilm

“Marc van de Klashorst goes through an experience in Brady Corbet's stunning but muddled THE BRUTALIST, a film that leaves you pondering whether its sumptuous style can overcome a lack of substance for which there was definitely room”

“Marc van de Klashorst vit une expérience dans le film époustouflant mais confus THE BRUTALIST de Brady Corbet, un film qui vous laisse vous demander si son style somptueux peut surmonter un manque de substance pour lequel il y avait certainement de la place”

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MICHAŁ WASILEWSKI

“The Brutalist is a monumental achievement, an American epic about broken dreams in an unforgiving environment which fails to reward ambition. This being said, the word “masterpiece” is thrown around too often - or perhaps it just needs to sit with me for a bit longer.”

“The Brutalist est une réussite monumentale, une épopée américaine sur les rêves brisés dans un environnement impitoyable qui ne récompense pas l'ambition. Cela étant dit, le mot « chef-d'œuvre » est trop souvent utilisé - ou peut-être qu'il faut simplement que je le garde en tête un peu plus longtemps.”

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GUILLAUME DE SEILLE 

“Festival monster, The Brutalist by Brady Corbet is competing in #Venezia81 for Focus and lasts 215mn. A dizzying failure, this dark, chatty autobiopic too obviously fosters a 70mm  cult and, above all, cursed status. A crying lack of a real producer. A world away from King Vidor.”

“Monstre du festival, The Brutalist de Brady Corbet est en compétition #Venezia81 pour Focus et dure 215mn. Échec vertigineux, cet autobiopic sombre et bavard favorise trop le culte du 70mm et surtout son statut de maudit. Manque criant d'un vrai producteur. A mille lieues de King Vidor.”

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ALEX HARRISON

“I was a little skeptical heading into THE BRUTALIST. I shouldn’t have been, it’s absolutely remarkable— and my #Venezia81 screening in 70mm will be an experience I treasure”

“J'étais un peu sceptique avant de voir THE BRUTALIST. Je n'aurais pas dû l'être, c'est absolument remarquable - et la projection #Venezia81 en 70 mm sera une expérience que je chérirai”

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LEONARDO GOI

“What a wondrous piece of cinema THE BRUTALIST is. Corbet's vision of America trumpets its delusions of grandeur before debunking them all in a sprawling saga that grows more spectral and nightmarish with each scene. At long last #Venezia81 gave us a near-masterpiece.”

“Quelle merveille que ce film de THE BRUTALIST. La vision de l'Amérique de Corbet clame haut et fort ses illusions de grandeur avant de toutesles démystifier dans une saga tentaculaire qui devient plus spectrale et cauchemardesque à chaque scène. Enfin #Venezia81 nous a offert un quasi-chef-d'œuvre.”

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Image (c) Focus Features