« Stars at Noon » de Claire Denis : ce qu'en pensent les critiques sur Twitter

Totalement désarçonné par #StarsAtNoon, sorte d'anti-James Bond au regard féminin, faux-rythme curieusement entrainant et charme lancinant.

Claire Denis détonne avec son long-métrage, certes un peu trop long, mais en parfait contre-courant. Margaret Qualley brille. #Cannes2022 pic.twitter.com/iSQO9gZmOr

— Alexandre Janowiak (@A_Janowiak) May 25, 2022

#Cannes2022 "Stars at Noon" (Claire Denis, Compétition). Poisseux, sensuel, cet engluement d'une journaliste (Margaret Qualley, pénible) dans un Nicaragua devenu lieu d'errance, d'attirance des corps, de dangers. Joe Alwyn (parfait) dans ses rets. Claire Denis hors sol: j'aime! pic.twitter.com/mY5DpfD1K9

— Pascal Gavillet (@PascalGavillet) May 25, 2022

#StarsAtNoon Le scénario s'éparpille beaucoup trop, mais l'intrigue importe finalement peu : seule compte cette liaison passionnelle et sensuelle dans une atmosphère poisseuse. Margaret Qualley explose devant la caméra de Claire Denis #Cannes2022

— Michael Ghennam (@thelostMiG) May 25, 2022

#StarsAtNoon Le scénario s'éparpille beaucoup trop, mais l'intrigue importe finalement peu : seule compte cette liaison passionnelle et sensuelle dans une atmosphère poisseuse. Margaret Qualley explose devant la caméra de Claire Denis #Cannes2022

— Michael Ghennam (@thelostMiG) May 25, 2022

Est-ce que l'intrigue de #StarsAtNoon est intéressante? Non. Mais comme toujours avec Claire Denis, j'ai été complètement transportée par l'atmosphère, la musique, la photo superbe... Un film moody et sensuel (enfin du cul!), qui réchauffe cette compète globalement faible.

— Anaïs Bordages (@AnaisBordages) May 25, 2022

« Stars at noon » : Claire Denis adapte un livre pour la première fois, et on voyage avec des personnages ambigus, salauds et tendres à la fois. On s’ennuie un peu au début et puis le charme agit. Gros abattage des (excellents) comédiens, et ce morceau de Tindersticks ❤️ pic.twitter.com/URCTLv52FG

— Matteu Maestracci (@MMaestracci) May 25, 2022

STARS AT NOON is bad & I blame it on Joe Alwyn not being Robert Pattinson. Not sure how to criticize it because it’s just a boring mess. Plays like a Wikipedia page about Latin American politics (with more sex) at best. At worst it’s an overly long snore. A tragedy. #Cannes2022 pic.twitter.com/erofeRKJxt

— Karl Delossantos @ Cannes (@karl_delo) May 25, 2022

STARS AT NOON asks an unbearable question: what if we get two people with the sexual chemistry of a pair of dry breadsticks and have them stare emptily at each other to the persistent sound of bad saxophone tunes for the whole of two hours and fifteen minutes? #Cannes2022

— Rafa Sales Ross (@rafiews) May 25, 2022

STARS AT NOON de Claire Denis

IL EST LÀ !!! Le nanar de l'année se déploie comme un film d'espionnage confus, ridicule, ennuyeux, incohérent.

On ne le regarde pas : on le subit.#Cannes2022 pic.twitter.com/fYiaZ6FfvI

— Alexis Roux (@RouxAlexis3) May 25, 2022

Affligeant ce STARS AT NOON. Une romance moite sur fond d’intrigue d’espionnage où tout sonne faux à commencer par ses deux personnages aussi creux que les dialogues qu’ils déblatèrent ! #Cannes2022 pic.twitter.com/RLqBDNiWWE

— Antoine Rousseau (@ant_rousseau) May 25, 2022

🎬 "Stars at Noon", c’était comment❓

✍️ Le cinéma sensuel de Claire Denis se perd dans l’exotisme anarchique du Nicaragua. On peine à croire à cette romance bien fade, le charme de Margaret Qualley ne parvenant pas à sauver un film trop long et dénué d’émotion.#Cannes2022 ✨ pic.twitter.com/BYISjkw0TW

— Anthony Jammot (@AnthonyJammot) May 26, 2022

J'adore Margaret Qualley et elle est très bien dans Stars At Noon mais le reste c'est compliqué... Y a une petite musique plaisante dans cette romance moite et alcoolisée, mais que ça reste aussi poussif et ringard... Le morceau des Tindersticks défonce par contre. #Cannes2022

— Julien Lada (@JulienLada) May 25, 2022