« Roubaix, une lumière »: ce qu’en pensent les critiques sur Twitter

Surprise en compétition #Cannes2019 @arnaudesplechin se détourne du romanesque pour embrasser la réalité du crime. Et il dégage une humanité exemplaire de #RoubaixUneLumiere. Entre #RoschdyZem le flic melvillien et deux extraordinaires filles perdues #LéaSeydoux et #SaraForestier pic.twitter.com/6jeB1ZNd6m

— Philippe Rouyer (@philippe_rouyer) May 22, 2019

Vraiment étonnant ce #RoubaixUneLumiere. ⁦Desplechin s’éloigne du romanesque, opte pour un faux polar, et brosse le portrait d’un saint-commissaire. Le récit s’intensifie dans sa deuxième heure, dense et surprenante. #Cannes2019 pic.twitter.com/cePFOIF9C9

— Christophe Caron (@chricaron) May 22, 2019

Déstabilisant #roubaixunelumiere mais tout sauf inintéressant. Desplechin y quitte les rives du romanesque pur pour celle du polar documentaire. Mais avec toujours une direction d'acteurs exemplaire (Roschdy Zem en tête) et le superbe travail sur la lumière de Irina Lubtchansky

— Thierry Chèze (@Thierry_SCL) May 22, 2019

#RoubaixUneLumiere est d’un ennui mortel qui, en fin de festival, fait mal à notre patience. Un film sur rien, avec rien. Desplechin arrive à rendre tous ses acteurs pénibles, c’était franchement un supplice. pic.twitter.com/6FFc0fhGvC

— Gwen (@gwennaelle_m) May 22, 2019

On est assez proche du naufrage dans #RoubaixUneLumière où Arnaud Desplechin s’égare dans une première heure laborieuse avant de tenter un polar sur la recherche de vérité qui tombe lourdement à plat (peu aidé, il faut le dire, par le surjeu des acteurs). #Cannes2019 pic.twitter.com/U9dHflAXnK

— Céline Bourdin (@bourdinceline) May 22, 2019

Pas vraiment compris la démarche de Desplechin avec #RoubaixUneLumiere, qui ouvre des pistes qu'il finit par abandonner, et livre un polar bancal et déceptif, mais assez fascinant dans les dynamiques de domination de son duo féminin. Roschdy Zem au top. #Cannes2019

— Julien Lada (@JulienLada) May 22, 2019

#RoubaixUneLumiere Un Desplechin surprenant et prenant, sorte de polar documentaire dans un Roubaix incroyablement éclairé par Irina Lubtchansky (la lumière finit par jaillir même des ruelles grises). La plongée sociologique est saisissante #Cannes2019

— Timé Zoppé (@TimeZoppe) May 22, 2019