« Je suis un fan de Transformers. J’adore l’idée des êtres qui peuvent se transformer en machine : les gentils se transforment en véhicules normaux, alors que les méchants sont des véhicules de guerre. Ça caractérise tellement les personnages, on voit bien le vide qu’il y a entre eux. Et, dans ce film, j’adore l’idée d’être tout le temps sur leur planète, Cybertron, avec zéro humain ! Comme il n’y a que des Transformers, tu te sens encore plus proche d’eux.
Ce film se situe bien avant les autres films et séries. Du coup, on comprend tout le passé des personnages. Ce sont des gens désespérés, des mineurs avec un chef qui leur ment : ils sont tristes, mais ils surmontent leur tristesse. L’un devient plus courageux, c’est le héros Optimus Prime. L’autre va dans la colère, c’est le méchant Megatron.
Je suis tellement fan que j’ai imaginé toute une histoire avec des “Aquaformers”, des Transformers de l’océan, et le héros se transformerait en baleine ! Pour le méchant, j’hésite encore entre le poulpe et le requin. Les gens de cinéma devraient laisser les enfants écrire les films. Je pense qu’ils ne le font pas parce que notre grande imagination ferait des films trop chers. »
Transformers, Le commencement de Josh Cooley, Paramount Pictures (1 h 44), sortie le 23 octobre, dès 7 ans