« Frère et soeur » d'Arnaud Desplechin : ce qu'en pensent les critiques sur Twitter

✨ Montée des Marches ! FRÈRE ET SŒUR, Arnaud DESPLECHIN
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✨ Red steps ! FRÈRE ET SŒUR (BROTHER AND SISTER) by Arnaud DESPLECHIN #Cannes2022 #Competition pic.twitter.com/DT1a40CKWl

— Festival de Cannes (@Festival_Cannes) May 20, 2022

#Cannes2002 @Festival_Cannes dans #FrereEtSoeur deux êtres en quête de pardon et d’amour dénouent les fils d’une haine inexplicable, inexpliquée… Film intense, rude et fascinant @LVT_RTL pic.twitter.com/7r3NKjKn7k

— Stéphane Boudsocq (@Stephbou08) May 21, 2022

#Cannes2002 contrairement à beaucoup, j’ai été séduit, happé, ému par #frereetsoeur. La dramaturgie littéraire de Desplechin dégage un romanesque fabuleux où les personnages dévastés réinventent sans cesse leur identité sur des haines et des rancœurs quasi mythologiques. pic.twitter.com/MqNbtOauld

— wolf rafael (@rafaelwolf1703) May 21, 2022

Je ne comprends pas les huées à la fin de #FrèreEtSoeur. Oui Desplechin y va avec de gros sabots mais le film regorge de beaux moments qui, par leur excessivité assumée, forment un certain équilibre. Et parce que Cotillard et Poupaud sont fabuleux. #Cannes2022 pic.twitter.com/MO5z79jbde

— Margaux Maekelberg 🦦 (@marg_oh) May 20, 2022

Les retours sur #Frèreetsoeur ne sont pas très bons et j'ai l'impression que les raisons pour lesquelles le film n'est pas aimé (on n'y croit pas, c'est ridicule) sont celles qui font que je l'ai apprécié, malgré des moments ratés. Le côté outré et théâtral a fonctionné sur moi.

— Anna Marmiesse (@lucyinthesky4) May 21, 2022

#FrèreEtSoeur c’est difficile d’en parler à chaud. Les expliques sont belles, Marion Cotillard rayonne dans un rôle sombre et tortueux. Pas le plus grand Desplechin, mais un joli film. #Cannes2022 pic.twitter.com/bAHqDtYcoL

— Arthur Brondy (@abrondy) May 20, 2022

#FrèreetSoeur ou comment Desplechin parvient à sublimer Melvil Poupaud (ou ptet l'inverse), dans un film cruellement sur-écrit virant in fine vers la parodie du drama familial. C'est con car on a de beaux moments, mais fallait mettre le Miller en compet' les gars !#Cannes2022

— Charley James (@CharleyJamesD) May 20, 2022

Hélas, pas vraiment séduite par #FrereEtSoeur. J’en suis restée complètement hermétique. Ces personnages caricaturaux qui déversent leur haine entre eux, sont à la longue, difficilement supportables et crédibles. #Cannes2022

— Mathilde (@rlc_mathilde) May 20, 2022

Premier gros ratage de la compet, #FrereEtSoeur de Desplechin échoue sur tous les plans. Mise en scène palote, enjeux médiocres, dénouement risible. Mais le pire reste tout de même les dialogues, abscons,pompeux, cherchant péniblement à rendre chaque ligne signifiante.#Cannes2022

— Martin C (@MartinsDayOff) May 20, 2022

Quand les d'habitude si douces afféteries de Desplechin virent au grand-guignol mélodramatique, ça donne #FrèreEtSoeur, épuisante caricature de personnages fantoches et difformes. La consternation totale. #Cannes2022

— Julien Lada (@JulienLada) May 20, 2022

Après un trio de films quasi parfaits, Desplechin retombe dans ses vieux schémas narratifs de haine familiale sur lesquels il avait déjà fait le tour de la question. #FrereEtSoeur est fragile jusque dans son casting : Melvil est un roi du surjeu, Marion est une reine de justesse. pic.twitter.com/BiHJscT0zB

— Guillaume Gas (@GuillaumeGas) May 20, 2022

#cannes2022 #frereetsoeur desplechin offre un récit trop fragmenté qui peine à développer les fondements psychologiques/psychiatriques responsables du dysfonctionnement familial objet. En alternant entre tons doux et durs, les fragments interrogent. Le liant arrrive tardivement.

— le mag cinema (@lemagcinema) May 20, 2022

#Frèreetsœur, un #Desplechin noueux, cinglant, violent, #MarionCotillard et #MelvilPoupaud galvanisés par la haine. Et #PatrickTimsit à cheval. #CannesFilmFestival2022

— Juliette Reitzer (@JulietteReitzer) May 20, 2022