« Si mon album était un film, il serait l’uppercut en douceur et la passion de Billy Elliot de Daldry, la rage innocente de Mommy de Dolan, la sexualité omniprésente des Chansons d’amours de Honoré et l’urgence de La Guerre est déclarée de Donzelli dans le décor de La Haine de Kassovitz. Il serait également en noir et blanc et j’en serais le rôle principal. On me suivrait souvent la nuit, dans mes quêtes, mes déboires et mes perditions. Peu de dialogues, simplement du souffle qui représenterait cette envie fulgurante de conquête. Ça serait un court métrage et la fin serait à définir, au choix du spectateur : « Va-t-il réussir? »
Eddy de Pretto, et si ton album était un film?
« Si mon album était un film, il serait l’uppercut en douceur et la passion de Billy Elliot de Daldry, la rage innocente de Mommy de Dolan, la sexualité omniprésente des Chansons d’amours de Honoré et l’urgence de La Guerre est déclarée de Donzelli dans le décor de La Haine de Kassovitz. Il serait également en