SUBLIME TROUVAILLE
I was blown away by Mati Diop’s poetic and powerful docu-fiction essay on cultural reparations, DAHOMEY. A beautiful follow-up to ATLANTICS, premiering in the #Berlinale2024 competition. My @THR reviewhttps://t.co/arLutMmDuy
— David Rooney (@DavidCRooney1) February 18, 2024
« J’ai été époustouflée par la docu-fiction poétique et puissante de Mati Diop sur les réparations culturelles, DAHOMEY. Une belle suite à ATLANTIQUE, présenté en avant-première dans le cadre de la compétition #Berlinale2024. »
The DAHOMEY crew at the world premiere. Mati Diop's perfect suit. The film is special – a clear but complex story of looted artefacts finally returned to Benin, and the layers of complexity within that. Stunning score and sound design. And another film that airs public debate. pic.twitter.com/DVuxL200QE
— Rebecca del Tufo (@BeccadT) February 18, 2024
« L’équipe de DAHOMEY à la première mondiale. Le costume parfait de Mati Diop. Le film est spécial – une histoire claire mais délicate d’objets pillés finalement restitués au Bénin, et toute la complexité qui en découle. Une partition et une conception sonore époustouflantes. Et un autre film qui suscite un débat public. »
Original, visualmente arriesgado, con decisiones de punto de vista diferentes para un documental, y con el foco en uno de los temas más importantes del momento. Qué Oso de Oro tan bonito sería 'Dahomey', de Mati Diop https://t.co/AB4FggvB44
— Javier Zurro (@Zurro_85) February 18, 2024
« Original, visuellement audacieux, avec un point de vue différent pour un documentaire, et avec un focus sur l’une des questions les plus importantes du moment. Quel bel Ours d’or ferait le Dahomey de Mati Diop ! »
Mati Diop har et vidunderligt flimrende filmsprog. Vanddamp, hededis, genspejlinger, neonlys, det ser så vidunderligt ud. I 'Dahomey', en film om statuer i Benin, gør det alting så levende. Det vigtige er ikke gamle statuer. Det vigtige er det liv og tanker de kan sætte i gang.
— Frederik Bojer Bové (@FBBove) February 18, 2024
Mati Diop a un langage cinématographique merveilleusement chatoyant. La vapeur d’eau, la brume de chaleur, les reflets, les néons, tout cela est merveilleux. Dans « Dahomey« , un film sur les statues au Bénin, tout prend vie. L’important, ce ne sont pas les vieilles statues. Ce qui est important, c’est la vie et les pensées qu’elles peuvent susciter.
RARES RÉSERVES
Little emotion during the exchanges with the young people, but Dahomey, the short doc from Benin by French-Senegalese Mati Diop, is drowned out by too many emphases – voice-overs, music. A slot in Forum rather than #Berlinale2024 competition would have been more appropriate. pic.twitter.com/OtrFvPcAQb
— Guillaume de Seille (@GdSArizona) February 18, 2024
« Un peu d’émotion lors des échanges avec les jeunes, mais Dahomey, le court-métrage [il ne s’agit pas d’un court métrage mais bien d’un long-métrage documentaire, ndlr] béninois de la franco-sénégalaise Mati Diop, est noyé par trop d’emphases – voix off, musique. Une place dans le Forum plutôt que dans la compétition #Berlinale2024 aurait été plus appropriée. »
ET NOUS, DANS TOUT ÇA ? 🐻
On a été captivées par ce film qui suit le retour de la France au Benin, en 2021, de 26 œuvres sur les 7000 pillées à l’époque coloniale. A travers la voix sortie des limbes de l’un de ces artefacts royaux, le docu nous plonge dans un voyage saisissant, dont la charge politique est amplifiée par une atmosphère fantastique très puissante – la même qui parcourait déjà « Atlantique ».