CinémaPETIT ÉCRANCultureQUEER GAZEDIVINE GANGI.A. QUOI ?Le magazine
  • News
  • Article
  • 2 min

Berlinale 2022 : les films découverts cette année  

  • TroisCouleurs
  • 2022-02-14

La rédac est revenue dimanche dernier de la 72e édition de la Berlinale avec des images plein la tête. On fait le point sur les merveilleux films qu’on y a découverts.

Berlinale 2020 : découvrez le palmarès complet de la 70 édition

Lire l'article

PETER VON KANT de François Ozon

Quelle ouverture ! François Ozon a lancé les festivités jeudi dernier avec cette relecture des Larmes amères de Petra von Kant, la pièce et le mélo cultes de R.W. Fassbinder. Un film de fan ludique et méta, plus enlevé que l'original, hommage aux grandes actrices (Isabelle Adjani, Hanna Schygulla), mais aussi une réflexion sur les rapports de pouvoir. Parfait pour nous mettre dans le bain.

Vu à la Berlinale : « Peter von Kant » de François Ozon

Lire la critique

« Peter von Kant » de François Ozon : ce qu'en pensent les critiques sur Twitter

Lire l'article

ALCARRAS de Carla Simon

La réalisatrice du remarqué Été 93 (Prix du meilleur premier film à la Berlinale en 2017), Carla Simón, signe un deuxième long étonnant de maturité sur une famille de paysans espagnols qui doit dire adieu à ses vergers pour laisser place à des panneaux solaires. Entre réalisme et onirisme, Alcarràs nous emporte dans la torpeur de ce dernier été en suspension.

Vu à la Berlinale : « Alcarràs » de Carla Simon

Lire l'article

ROBE OF GEMS de Natalia Lopez Gallardo

Plusieurs tragédies s’entremêlent sur fond de violence des cartels dans ce film étrange et nébuleux, présenté en Compétition à Berlin, qui révèle lentement son poison.

Vu à la Berlinale : « Robe of Gems » de Natalia Lopez Gallardo

Lire la critique

INCROYABLE MAIS VRAI de Quentin Dupieux

Depuis Réalité (2014), on savait qu'entre Alain Chabat et Quentin Dupieux, ça matchait, mais peut-être pas à ce point. L’acteur illumine la nouvelle fantaisie du cinéaste français, Incroyable mais vrai, qui mêle absurde et crise existentielle. Le film, présenté en séance spéciale à la Berlinale, sortira le 15 juin.

Vu à la Berlinale : « Incroyable mais vrai » de Quentin Dupieux

Lire la critique

COMA de Bertrand Bonello

Avec Coma, Bertrand Bonello signe peut-être son film le plus personnel à ce jour. Une déclaration d'amour et d'espoir à sa fille et à la jeunesse actuelle en forme de geste radical, objet théorique sur les limbes qui n'oublie pas, comme de coutume chez le cinéaste français, d'explorer une dimension très sensorielle.

Vu à la Berlinale : « Coma » de Bertrand Bonello

Lire la critique

« Coma » de Bertrand Bonello : ce qu'en pensent les critiques sur Twitter

Lire l'article

OCCHIALI NERI de Dario Argento

Après dix ans sans réaliser de film, Dario Argento revient aux affaires avec Occhiali Neri, un étonnant giallo sur une prostituée qui perd la vue après une agression. Une série B très libre sur nos manières de regarder le monde, le tout pulsé par la musique d’Arnaud Rebotini. À 81 ans, le maestro tenterait-il de renouveler son regard ?

Vu à la Berlinale : « Occhiali neri » de Dario Argento

Lire l'article

RIMINI d'd’Ulrich Seidl

Après Paradis : Espoir en 2013, l'Autrichien Ulrich Seidl revient en Compétition à la Berlinale avec ce portrait fictionnel et tragicomique d'un chanteur de variété sur le retour, installé dans la petite ville côtière italienne de Rimini, et qui se prostitue à l'occasion auprès de ses fans retraitées.

Vu à la Berlinale : « Rimini » d’Ulrich Seidl

Lire la critique

AVEC AMOUR ET ACHARNEMENT de Claire Denis

Claire Denis filme l’amour comme un thriller ou comme un film de vampires, portée par ses deux acteurs incandescents : Vincent Lindon et Juliette Binoche.

Vu à la Berlinale : « Avec amour et acharnement » de Claire Denis

Lire la critique

Avec amour et acharnement de Claire Denis : ce qu'en pensent les critiques sur Twitter

Lire l'article

LES PASSAGERS DE LA NUIT de Mikhaël Hers

L'ultra-sensible Mikhaël Hers (Amanda, Ce sentiment de l'été) dépeint la destinée d'une attachante famille monoparentale emmenée par Charlotte Gainsbourg dans le Paris des années 1980. Nappes de synthé nostalgiques, émission de radio nocturne dans les vapeurs de cigarettes et d'alcool, jeune et gracieuse météorite punk... La nostalgie est de tous les plans et n'a jamais été si vivifiante.

Vu à la Berlinale : « Les Passagers de la nuit » de Mikhaël Hers

Lire la critique

Image : Vincent Lindon et Juliette Binoche à la projection d’Avec amour et acharnement de Claire Denis. © Erik Weiss / Berlinale 2022

Inscrivez-vous à la newsletter

Votre email est uniquement utilisé pour vous adresser les newsletters de mk2. Vous pouvez vous y désinscrire à tout moment via le lien prévu à cet effet intégré à chaque newsletter. Informations légales

Retrouvez-nous sur