LE GESTE LE PLUS RADICAL DE LA COMPET’
CANNES 2022 · Albert Serra : « Le côté crépusculaire du pouvoir, ça donne envie d’avoir des images »
Serra nous entraîne dans sa thébaïde Polynésienne avec Benoit Magimel en haut commissaire interessé, désabusé, cynique, patient. #PACIFICTION film contemplatif qui s’éloigne un peu de l’œuvre cinématographique et se rapproche de l’objet d’art. Fabuleux! #Cannes2022 pic.twitter.com/m1vey4kFtr
— Ali Naderzad (@alinaderzad) May 26, 2022
PACIFICTION est désarmant. Une sorte de Beckett en Polynésie, une errance mystérieuse qui figure l'attente face à l'Apocalypse à l'échelle de ce microcosme insulaire et la vacuité du travail politique pour l'en empêcher. pic.twitter.com/9WC94MYU9e
— Pierre (@ncls_pierre) May 26, 2022
« Pacifiction » : Benoît Magimel dans le rôle de sa vie dans un OFNI total en Polynésie, entre Mandico et Pynchon. C’est souvent fascinant, parfois on se demande ce qu’on fout là, mais c’est du cinéma, coco pic.twitter.com/V1q1L15Sl9
— Matteu Maestracci (@MMaestracci) May 26, 2022
Prix d'interprétation masculine de #Cannes2022 Benoît Magimel est immense dans #Pacifiction d'Albert Serra. Gestuelle, démarche, look. J'aime énormément le film, mais Magimel, Magimel est un délice à l'œil et à l'écoute pic.twitter.com/4ORCSSGUF1
— jon (@JonathanPichot) May 26, 2022
Le beau bizarre/The White Lotus/Twin Peaks/Miami Vice : #Pacifiction d’Albert Serra, qui a balayé toutes mes réserves sur son cinéma #Cannes2022 #unprixpourmagimel pic.twitter.com/UWyx2TJGjo
— Olivier Joyard (@ojoyard) May 27, 2022
Énorme barre de rire nerveux devant #Pacifiction, délire stone et parano où Albert Serra filme la banalité des échanges humains au coeur d'un paradis isolé et abandonné par l'État français, lointain démisionnaire aux desseins incompatibles avec les locaux.
OVNI ! #Cannes2022 pic.twitter.com/UZqpX8gItA
— Alexandre Janowiak (@A_Janowiak) May 26, 2022
ALBERT SERRA, SEUL SUR SON ÎLE
"Je devrais peut-être arrêter mon métier car je comprends plus rien" dit le personnage de Benoit Magimel dans #Pacifiction et ça résume assez bien mon état face à ce film soporifique. Chaque minute écoulée semblait être une année chien. #Cannes2022
— Margaux Maekelberg (@marg_oh) May 26, 2022
#Cannes2022#Pacifiction : lol, le meilleur moment de ma séance c’est quand le mec derrière moi a hurlé « NUL » en plein milieu d’une scène. Sinon c’était une épreuve, que je suis très fier d’avoir terminée.
Du coup je vais dire à tout le monde que c’était génial.— Jean-Baptiste Morel (@JB__Morel) May 26, 2022
#Pacifiction d'Albert Serra est un des plus beaux soporifiques expérimentés de mémoire récente. 2h45 absolument interminable, à la direction d'acteurs amateur, où tout le monde semble chercher du sens dans succession de séquences sans âmes. Seul le chef op' a bossé#Cannes2022
— Charley James (@CharleyJamesD) May 26, 2022
#Cannes2022 "Pacifiction" (Albert Serra, Compétition). L'univers purement mental de Serra, moins subversif que d'ordinaire, bercé par une aporie extrême. Conceptuel (trop), le film se perd dans des volutes de pensées, avec au centre un Magimel qu'on semble redécouvrir. pic.twitter.com/BQnSIgEfyO
— Pascal Gavillet (@PascalGavillet) May 26, 2022
"Pacifiction" est un film qui m'a plongé dans de profondes réflexions : j'ai décidé d'acheter une montre à cadran lumineux… mais qui ne fasse pas trop "sport". Je me demande si ça existe.
— Adrien Gombeaud (@AdrienGombeaud) May 26, 2022
Grosse vibe David Lynch dans le grand et vénéneux #PACIFICTION d'Albert Serra. Il faut être en état (heureusement en cette fin de festival, je l'étais). Benoît Magimel au sommet, prix d'interprétation please! #Cannes2022 @Trois_Couleurs
— Timé Zoppé (@TimeZoppe) May 26, 2022
#Pacifiction – Tourment sur les îles – Le film le plus fou et aventureux de la Compétition, et j'espère la Palme. #AlbertSerra filme un Benoît Magimel comme on ne l'a jamais vu, exceptionnel en politicien désorienté sur une île qui devient un enfer dédaléen @Trois_Couleurs
— Quentin Grosset (@QuentinGrosset) May 26, 2022
Le Festival de Cannes se tient cette année du 17 au 28 mai 2022.
Images (c) Les Films du Losange