« La passion de Dodin Bouffant » de Tran Anh Hung : ce qu’en pensent les critiques sur Twitter

J'ai versé ma première larme cannoise.
Un chef-d'œuvre.
Ma palme.#LaPassionDeDodinBouffant pic.twitter.com/lZ2sMXsCcQ

— Robin in Cannes (@Mr__Kritik) May 24, 2023

Plus sérieusement j'ai été émerveillée par Dodin Bouffant, qui sublime la cuisine comme langage, comme art et comme kink. C'est le Mad Max Fury Road de la gastronomie française, un pur plaisir visuel et sensoriel.

— Anaïs Bordages (@AnaisBordages) May 24, 2023

Jamais vu un film aussi synesthétique que La passion de Dodin Bouffant de Tran Anh Hung.
La jouissance du repas- sa préparation, sa consommation, sa transmission - n’aura est divinement filmée.
Magimel et Binoche bouleversants dans cette f/table hors du temps ! #Cannes2023 pic.twitter.com/ryR9ZKaZ9g

— Nicolas Martin (@NicoMartinFC) May 24, 2023

Personne n'a jamais filmé la nourriture, ceux qui la font et ceux qui l'aiment avec autant de transports et d'amour.

La Passion de Dodin Bouffant est harassant de plaisir. Une grande bouffe élégiaque, éclatante, qui dégouline de joie, de sauce, d'envies et d'idées.#Cannes2023 pic.twitter.com/fWJDm1lYYM

— Simon Riaux (@SimRiaux) May 24, 2023

Joliment attendri par la drôle de sensualité culinaire de #LaPassionDeDodinBouffant, beau geste de sublimation de l'art de la table.
Super heureux de voir Benoît "Magic-mel'' taper ses meilleurs gueuletons et s'imposer à l'écran comme l'héritier de Gégé Depardieu.#Cannes2023 pic.twitter.com/mndp4ukSQN

— Cyprien Caddeo (@Caddeo_Cyprien) May 24, 2023

Dans #lapassiondedodinbouffant, Tran Anh Hung évoque avec subtilité sa bi-culture, l'art de cuisiner bien sûr mais aussi d'exprimer ses sentiments par la cuisine, par le fait de cuisiner pour la personne que l'on aime, sans forcément vouloir lui appartenir. Magimel est immense.

— Yannick Vély (@yannickvely) May 24, 2023

#Cannes2023 "La Passion de Dodin Bouffant" (Tran Anh Hung). Eloge de cette gastronomie du terroir vue sous le prisme d'une histoire d'amour plus touchante qu'il n'y paraît. Ou comment transformer la cuisine en art culinaire. Minutieux et gourmand, un film facétieux et entier. pic.twitter.com/klIrkXCY2H

— Pascal Gavillet (@PascalGavillet) May 24, 2023

Dans #LaPassionDeDodinBouffant l’art de la cuisine devient charnel entre écrevisses et sautés de veau aux petits légume. La mise en scène de #trananhung est aérienne et d’une classe absolue. A défaut d’un scénario épuré, parfois vain. A déguster à défaut de saliver… #Cannes2023

— Fabrice Leclerc (@Fab_LCL) May 24, 2023

« La passion de Dodin-Bouffant » : c’est très beau, c’est plutôt bien joué et ça donne (très) faim. En revanche, à l’image de ses préparations qui ne tâchent ni les plaques ni les tabliers, le film trop propre et très sage ressemble parfois à une pub pour le marché international pic.twitter.com/eH93IZRY6E

— Matteu Maestracci (@MMaestracci) May 24, 2023

#LaPassionDeDodinBouffant : l’impression d’assister à un épisode de Top Chef en compétition est assez désarçonnante. Tran Anh Hung cherche à rendre hommage à la gastronomie française mais en fait des caisses. Photographie intéressante… #Cannes2023 pic.twitter.com/9L8vvcGhj8

— Arthur Brondy (@abrondy) May 24, 2023

#Cannes2023

Alors #LaPassiondeDodinBouffant (que je renommerais « Costard en cuisine », perso), on dirait un peu une pub pour La Laitière de 2h15, ça ne raconte quasiment rien, mais ça donne faim, ce qui est plutôt chouette quand même.

Beaucoup de dodos et de rires en Debussy. pic.twitter.com/f1j72V18Q0

— Jean-Baptiste Morel (@JB__Morel) May 24, 2023