Hier, le zinzin Harmony Korine était au Centre Pompidou (l’institution lui consacre en ce moment une rétrospective et une exposition) pour une masterclass animée par le critique Philippe Azoury. Le réalisateur de Gummo, à l’aise avec son sweat à capuche et ses baskets sur la table, a notamment évoqué son goût pour les freaks et autres paumés de l’Amérique profonde, son rapport privilégié à la pellicule 35mm et à la peinture, ainsi que son attirance pour les « big butts » (ce qui a constitué, dit-il, sa principale motivation pour faire Spring Breakers.) On vous laisse découvrir ça – en plus ça se termine avec des tours de magie.
En vidéo : la masterclass Harmony Korine au Centre Pompidou
Hier, le zinzin Harmony Korine était au Centre Pompidou (l’institution lui consacre en ce moment une rétrospective et une exposition) pour une masterclass animée par le critique Philippe Azoury. Le réalisateur de Gummo, à l’aise avec son sweat à capuche et ses baskets sur la table, a notamment évoqué son goût pour les freaks et