La curiosité d’Orson Welles était sans limite : c’est la conclusion qu’on tire de la vidéo diffusée par Fandor et conçue par Philip Brubaker. Elle nous explique que l’ambition démentielle du réal, souvent bridée par les producteurs hollywoodiens, a trouvé une expression esthétique multiple dans son œuvre cinématographique, jusqu’à nous procurer une sensation de « magie » comme l’analyse Philip Brubaker. Troublants miroirs, fumée incandescente, ombres mystérieuses : de Citizen Kane (1941) à La Soif du mal (1958) en passant par La Dame de Shanghai (1947), le réal a expérimenté des tas de choses (sur la profondeur de champ, sur les effets de plongée…) et a été un pionnier de l’histoire du ciné. Malicieux, Orson Welles a su jouer de sacrés tours à l’industrie guindée du ciné américain et aux spectateurs, surpris par ses nombreuses innovations.
Vidéo : Orson Welles, cet avant-gardiste du ciné hollywoodien
La curiosité d’Orson Welles était sans limite : c’est la conclusion qu’on tire de la vidéo diffusée par Fandor et conçue par Philip Brubaker. Elle nous explique que l’ambition démentielle du réal, souvent bridée par les producteurs hollywoodiens, a trouvé une expression esthétique multiple dans son œuvre cinématographique, jusqu’à nous procurer une sensation de « magie » comme