Pour revigorer le cinéma de genre, le CNC et SOFILM installent des résidences

Avec Grave, le public semble avoir redécouvert le cinéma de genre français. Le CNC, SO FILM, Canal+, Wild Bunch et Pictanovo comptent bien le faire vivre en déployant notamment un « plan en faveur des VFX » (Visual Effects). Dans un communiqué commun, ils expliquent leur démarche. Elle consiste à « renouveler le long-métrage de cinéma de genre


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Avec Grave, le public semble avoir redécouvert le cinéma de genre français. Le CNC, SO FILM, Canal+, Wild Bunch et Pictanovo comptent bien le faire vivre en déployant notamment un « plan en faveur des VFX » (Visual Effects). Dans un communiqué commun, ils expliquent leur démarche. Elle consiste à « renouveler le long-métrage de cinéma de genre en France en laissant notamment davantage de place aux expériences d’écritures collective, à la littérature et à la musique.  » L’année dernière, une résidence avait notamment accueilli Just Philippot (réalisateur et scénariste de courts-métrages comme Ses Souffles (2015) dont le projet Acide a été pré-acheté par Canal+ (voir vidéo ci-dessus). Et pour en ouvrir les perspectives, les partenaires organisent ce 7 avril 2017 à la Fémis des discussions autour de l’avenir de ce cinéma  :

  • 14h30 : une table-ronde se tiendra autour de cette question : « Quel cinéma de genre français pour demain ? Comment le fabriquer et le financer ? »
  • 16h : une présentation de l’appel à projets de cinéma de genre 2017.
  • 16h30 : Masterclass Studio VFX «Quels effets visuels pour le cinéma français de demain ?»
  • 20h:  Projection d’un film de cinéma fantastique présenté par Ciné+ et SOFILM

En pleine redécouverte, le cinéma de genre made in France a donc de beaux jours devant lui, comme en témoigne cette « nouvelle vague » de cinéastes que nous répertorions ici. On y parlait d’Holy Fatma (Please Love Me Forever, voir vidéo ci-desous), Bruce (Sweeter than roses), Quarxx (Un ciel bleu presque parfait) ou Jean-Baptiste Saurel (La Bifle).

Et comme on est très emballés par ce qui est en train de se tramer, on vous conseille vivement d’aller faire un tour à la Fémis cet après-midi !

La Fémis, 6 rue Francoeur 75 018 PARIS / Nombre de places limité.