Pour le vendeur du magasin de bonbons près de chez vous, amateur de cinéma muet.
Tout en vous glissant des friandises dans un sac, il vous parle de ce projet qu’il a d’écrire un texte sur la face sombre du cinéma muet. Pour l’encourager, offrez-lui ce roman passionnant qui ranime le Français Max Linder, une vedette comique du muet tombée de son vivant dans l’oubli et qui assassina cruellement sa jeune épouse avant de se donner la mort. De quoi l’inspirer pour son étude.
« Max » de Stéphane Olivié Bisson (Cambourakis, 112 p.)