IndieWire s’est penché sur les 20 réalisatrices qui dynamisent le cinéma mondial aujourd’hui. Reed Morano, Jennifer Phang, Ana Lily Amirpour, Lucia Annello… Parmi toutes ces réals à la filmographie prometteuse, on vous en sort deux. En tête de liste, l’Iranienne Anahita Ghazvinizadeh, ancienne étudiante d’Abbas Kiarostami plus tard repérée par Jane Campion. Cette dernière a même loué sa « touche vraiment unique« . La jeune réal s’intéresse particulièrement aux questions du genre et de la jeunesse. En ce 70e anniversaire de Cannes, elle avait d’ailleurs présenté en Séance Spéciale son film They, l’histoire de J. qui suit des traitements hormonaux et se retrouve au pied du mur : elle doit choisir son identité sexuelle. La bande-annonce :
L’article parle aussi de la réalisatrice canadienne Stella Meghie, vite approchée par les studios après son premier film Jean of The Joneses (2015), le récit de l’histoire d’une famille Americano-Jamaïcaine qui compte dans ses rangs des générations de femmes de classe moyenne. Leur vie, et particulièrement celle de Jean, 25 ans, va être bouleversée par une nouvelle : un grand-père, presque inconnu, meurt sur le pas de la porte un jour de repas dominical. Loin du drame et des larmes, la réalisatrice a pris le parti d’en faire une comédie relevée. La bande-annonce :
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