Feu vert
#Burning de Lee Chang-Dong ou l’uppercut cannois que l’on avait pas vu venir. Un thriller hypnotique et épuré qui joue sur l’ambiguïté de ses personnages, le hors champ et le non dit. Avec une maîtrise technique qui donne le vertige #Cannes2018
— Loris Quinto (@LorisQuinto) 16 mai 2018
#burning : c’était vraiment top. Un drame existentialiste qui trouve la légèreté dans le spleen et le côté rat des villes/rat des champs de ses personnages. Et : c’est sexy. Et drôle – moins au fur et à mesure, ceci dit. #cannes2018
— Florian Etcheverry (@lordofnoyze) 16 mai 2018
Adoré #Burning. Lee Chang-Dong adapte Murakami avec maestria dans un film venimeux et paranoïaque qui infuse lentement grâce à une mise en scène et à un casting épatants. Du grand art. #Cannes2018 pic.twitter.com/3ZxxM2JUSw
— Céline Bourdin (@bourdinceline) 16 mai 2018
Feu orange
L’aisance avec laquelle Lee Chang-Dong étire son sujet pendant plus de deux heures est assez fascinante. Si j’enlève quelques scènes de toute beauté, #burning m’a assez ennuyée. A voir avec le temps ce qu’il en reste #Cannes2018
— Marine Bordone (@Marine2MP) 16 mai 2018
#LeeChangDong revient à #Cannes2018 avec #Burning, proposition très différente de Poetry. Cette fois, nous sommes du côté de Faulkner sans conteste. Bien maîtrisé, bon film, m si les premières 30 min – qui certes contribuent au rythme global lent – méritaient quelques coupes.
— le mag cinema (@lemagcinema) 16 mai 2018
Feu rouge
un thriller plombant, aussi péniblement sérieux que son héros, apprenti enquêteur à deux de tension qui susciterait peut-être l’empathie s’il n’avait pas l’air encore plus déficient qu’Andrew Garfield devant un sudoku #Burning #Cannes2018
— Eric Vernay (@ericvernay) 17 mai 2018
Et nous, dans tout ça ?
#Burning de Lee Chang-Dong : on s’est laissés happer par l’atmosphère tendue de ce thriller éthéré en Corée du Sud #cannes2018
— TROISCOULEURS (@Trois_Couleurs) 17 mai 2018