En transe
Avec #Climax, #GasparNoé signe un film incroyable. Une transe fascinante et glaçante en huis clos qui croise #Bunuel et #Salo de Pasolini pour explorer les mystères de la vie sur les ailes de la danse #Quinzaine2018 pic.twitter.com/HVIMBefxHU
— Philippe Rouyer (@philippe_rouyer) 13 mai 2018
Gaspar Noe has knocked it out of the park #climax is incredible – even if you hate the topic the filmmaking is unbelievably good! Great great movie
— Kaleem Aftab (@aftabamon) 13 mai 2018
Sacré @GasparNoe #Climax: une heure et demie de transe. @Quinzaine Ahurissant ! Puissant ! Emballant ! pic.twitter.com/i5bvx0mxa5
— Vié Caroline (@Caroklouk) 13 mai 2018
Mais PUTAIN merci Gaspar Noé de nous offrir une telle expérience de cinéma avec #Climax. Quel étourdissant cauchemar sous acide porté par une mise en scène et sa vision d’artiste folles. Plastiquement, c’est reversant. CINÉASTE TELLEMENT MAJEUR ! @Quinzaine #Cannes2018 pic.twitter.com/e6IEqJUjJt
— Mehdi Omaïs (@MehdiOmais) 13 mai 2018
En descente
Étrange #Climax. Après le mélo porno, Gaspar Noé invente le film d’horreur dansé. Un bad trip aussi radical qu’Enter The Void où les corps restent cloués au sol et convulsent à répétition. Pas le feu d’artifice attendu mais un film qui vrille pour le meilleur et pour le pire.
— Renan Cros (@imnotgenekelly) 13 mai 2018
Film de danse hallucinogène finalement assez inoffensif, Climax de Gaspar Noé est un petit trip sympathique qui n’a pas grand chose à dire et finalement tant mieux ; les éléments de narration explicites étant ce qu’il y a de moins intéressant. #Cannes2018
— David Honnorat (@IMtheRookie) 13 mai 2018
Bad trip
Quelle horreur #Climax, un gloubiboulga de références mal digérées aux dialogues nullissimes. Ça se prend pour un truc subversif mais c’est d’un ridicule sans nom, on se croirait devant le délire amateur d’un étudiant.
— David. (@ezndavid) 13 mai 2018
Virtuositéqui tourne à vide, discours ado bête, du talent mais gâché, comme depuis longtemps avec Gaspar Noé #Climax
— leclaireur (@leclaireurdames) 13 mai 2018
Et nous, dans tout ça?
#Climax de #GasparNoé c’est dirty dancing mais alors vraiment dirty. La première partie frénétique donne envie de prendre mille drogues et de passer le restant de ses jours en rave. La deuxième sombre et out of control donne plutôt envie de rester au thé vert. Puissant et fou
— TROISCOULEURS (@Trois_Couleurs) 13 mai 2018