Supporters de première ligne
D’une précision à la lisière du documentaire, Stéphane Brizé fait de son #EnGuerre une fiction du réel complexe, urgente et vibrante, une mise en image brutale d’une lutte ouvrière aux douloureuses courbes de véritable dialogue de sourds, au casting impeccable de justesse. pic.twitter.com/B0HRSbmfw9
— FuckingCinephiles (@FuckCinephiles) 15 mai 2018
La palme pour « en guerre » !!!! #cannes2018
— Mister Ig (@Mister_ig) 15 mai 2018
Incroyable ovation pour #enguerre de Stéphane Brizé. #Cannes2018
— Yannick VELY (@yannickvely) 15 mai 2018
La plus longue standing ovation du festival pour En Guerre de Stéphane Brizé avec Vincent Lindon #cannes2018 pic.twitter.com/YhjDGjNZ6v
— philippe dupuy (@djphilip) 15 mai 2018
Le cortège du milieu
Vu #EnGuerre
Film important dans son époque avec un Vincent Lindon habité…mais dont la forme narrative devient vite redondante. On finit par voir des boucles de réa sur des boucles de gimmick et l’ennui s’installe.
Fin puissante mais rythme vraiment dérangeant #Cannes2018 pic.twitter.com/4AYn0IvSrS
— InThePanda (/Cannes) (@InThePanda) 15 mai 2018
Poings baissés
Bâtie reunionite aiguë et final pathos, je suis le premier à émettre des réserves aux critiques immédiates après un film, mais là, j’avoue que c’est un grand non. Tellement déçu par ce nouveau Brizé… Lindon est formidable quand il doit jouer la colère. #EnGuerre #Cannes2018
— Lucas (@LucasNunesdCarv) 15 mai 2018
Je suis presque sûr que #EnGuerre est un film plus insoutenable à regarder que #TheHouseThatJackBuilt : ce serait donc lui, le vrai film d’horreur de Cannes cette année. #Cannes2018
— David. (@ezndavid) 15 mai 2018
Drôle de manif’
Entendu à #Cannes2018 : « pourquoi les gens ont tous des affiches EN GUERRE, ils manifestent ou quoi ? »
— J’meFaisMonCinéma (@jmefaismoncine) 15 mai 2018
Et nous, dans tout ça ?
#EnGuerre de Stéphane Brizé : film brûlant, un appel à l’action aussi documenté que romanesque #cannes2018
— TROISCOULEURS (@Trois_Couleurs) 15 mai 2018
Bonus : on a rencontré le réalisateur Stéphane Brizé et c’est à lire ici.