UN MIRACLE
Pour l'instant ma meilleure séance s'appelle #Benedetta, et pour le journaliste à côté de moi et ses "amazing" à chaque scène, et pour cet incroyable récit d'émancipation. Et pour Virginie Efira ♥️ #cannes2021
— Amandine (@MotherOfSighs_) July 9, 2021
Une Virginie Efira en état de grâce.
Une Daphné Patakia qui confirme son talent ovniesque.
Un Paul Verhoeven qui maîtrise plus que jamais les différents niveaux de lecture de sa satire.
Mieux encore que le film sulfureux attendu, #Benedetta est un miracle de cinéma.#Cannes2021 pic.twitter.com/tP0V2ixoFl— Damien Leblanc (@damien_leblanc) July 9, 2021
Par la densité de sa mise en scène, Paul Verhoeven va jusqu’au bout de ses idées et de ses envies dans son acide réflexion sur le pouvoir religieux. Virginie Efira est une #Benedetta impériale, capable de traverser la drôlerie et la cruauté du film avec brio. pic.twitter.com/y9aldr9v05
— Céline Bourdin (@bourdinceline) July 9, 2021
#Benedetta est un bréviaire de mensonges, de croyances, de vérités incertaines et de mauvaise foi. Cela aurait pu être un film en costume rugueux (littéralement), mais son mordant contemporain nous parle autant du XVIIe siècle que de notre époque. pic.twitter.com/kbwIbS4q14
— Fabien Randanne (@fabrandanne) July 9, 2021
VADE RETRO SATANAS
Pain de fesses chez les bénédictines.#Benedetta est probablement le chef-d'œuvre attendu par les fans d'AB prod et de feu le soft-core de M6.
Embarrassant jusqu'au bout de l'hostie, mais souvent hilarant.
À condition bien sûr de fermer les yeux pour s'épargner les rétines pic.twitter.com/mgeDAuKox6
— Simon Riaux (@SimRiaux) July 9, 2021
#Cannes2021 #Benedetta les thématiques du grand Verhoeven (pouvoir, sexe, mensonge) dans un film passé de mode malgré la solaire #virginieefira . Un téton, une vierge ne font plus scandale depuis 40 ans. Ni ce film endiablé mais au drôle de goût de Puy-du-fou version Boutonnat.
— Fabrice Leclerc (@Fab_LCL) July 9, 2021
Verhoeven film les sœurs-bonnes et flirte avec Jesus 2 le retour des Inconnus (je m’attendais à chaque instant à entendre: «Je suis Jesus Christ fils de pute»), l’exorciste et gazon maudit. Je sais pas si c’était voulu mais j’ai bien rigolé
C’était ma critique ciné. #Benedetta pic.twitter.com/QPqdhHxUZE— Mélanie Klein (@cineMoiJe) July 9, 2021
BONUS DRAGONS ET TETONS
« Ça manque de dragons mais ça manque pas de tétons »
Sortie de #Benedetta#cannes2021
— Thomas Gastaldi (@snooptom) July 9, 2021
Et nous, dans tout ça ?
Adoré #Benedetta de Paul Verhoeven. Tourné en 2018, le film étonne comme farcesque catharsis de la pandémie, avec une vision du Moyen-âge assez savoureuse, entre horrifique et grotesque. Géniale Virginie Efira en nonne lesbienne qui se libère au milieu de ce chaos #Cannes2021
— Quentin Grosset (@QuentinGrosset) July 9, 2021
On a tellement été conquis à la première vision qu’on a absolument voulu poser un tas de questions à Paul Verhoeven, qui nous a parlé Eglise, sexualité lesbienne et troublantes résonances entre les époques :